Origine de l'avatar : Soul Eater * Black★Star
Identité : Kyösaku Jinpachi
Surnom : Kyosuke
Sexe : Masculin
Âge : Douze ans
Date de naissance : Un Onze en Hiver
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Clan : Jiken????
Grade : Au plaisir de votre appréciation
Rang : Ce que vous trouvez le mieux approprié
Kekkei Genkai : Thug LIFE

   Physique atypique à en faire rêver les jeunes adolescentes. Qu’elles ? Non, pas vraiment. Un physique auquel vous pensez dans votre bain. Le genre que vous espionneriez volontiers, sans dévoiler votre présence, ou pour lequel vous vous laisseriez aller à en rêver pendant que vous vous adonnez à vos activités quotidiennes, aux toilettes, à la cuisine, ou même au dortoir. Le genre que l'on ne lâche pas. Le genre de physique que ces demoiselles voudraient voir surgir sous leurs couvertures au milieu de la nuit, et qui leur donne des frissons. Frissons, qu’il inspire chez quiconque le remarque. D’où viennent-ils ? De ses yeux ? Des iris étoilés qui lorgnent sur vous avec une vivacité, une avidité san borgne, une envie malsaine, un désiir ardent, emplis de confiance. Ces étoiles vous rappellent à votre éphémère conscience, à votre joli petit corps destiné à disparaitre impitoyablement sous la morsure du temps.

   Néanmoins, ce n'est pas juste un regard âpre souligné par un faciès sombre qui chatouille votre attention, mais également la dégaine qui l'accompagne. Ce garçon connait-il seulement la joie de vivre? On se le demande en voyant l'immense entaille qu'il arbore sur son épaule droite. Et pourtant, ces traits fins, parfaits, ne vous font-ils pas penser à un ange ? Petit ange innocent qui ne demande qu’à être serré fort dans les bras. Un visage attendrissant… Réellement…Qui dégage cependant une nette mélancolie. Une figure cadrée par un courte chevelure en bataille, d'un bleu unique. Petit, chétif au premier abord, Kyo fausse bien les estimations au travers de ses vêtements.

   Jeune garçon vêtu d'une tenue noir et blanche négligée. Il arbore une étoile blanche sur son épaule droite, marque distinctive qui l'accompagne depuis le jour de sa venue au monde.

   Comme tout garçon de son âge, Kyosuke est naturellement sûr de son infériorité sur n'importe quel être humain qu’il croise. Une infériorité qui se traduit par une méfiance à la limite de la paranoïa. Pour lui, une vie humaine n’a pas bien grande valeur, car n’arrive pas encore à cerner la réalité qui englobe le mot exister. Aussi il n’hésitera jamais à se mettre en danger, si par la suite il peut obtenir en retour une chose qu’il ignorait auparavant.

  En enfant fier qu’il soit, et en non amateur de combats, il arrivera qu’il se laisse aller à se laisser tabasser pour ne pas avoir à recourir à la violence. Un amour du prochain qui le pousse à faire des choses que nul ne ferait en temps normal. Une chose qu’il garde de sa belle et douce mère, qui ne l’a habitué qu’au bon côté de la vie. Mais ne vous y trompez surtout pas, aimer ne veut pas dire tolérer les blessures. Pour l’être attentionné qu’il est, et surtout à cause de son affection pour ceux avec lesquels il se lie d’amitié, que l’on dira juste gigantesque, porter préjudice à ces derniers, est à ses yeux une chose qu’il qualifiera d’innommable, et à laquelle il se peut qu’il réponde avec la plus grande sauvagerie envisageable pour un garçon de son âge.

   D'un tempérament généralement calme et généreux envers ses proches, il montre un tout autre visage lorsqu’il défend ses idéaux. Ne souhaitant pour l’instant que comprendre le monde qui l’entoure, il semblera parfois être un autre garçon lorsqu’il s’agit d’un apprentissage.

   Que l’on s’oppose à lui ne lui déplait pas. Pour peu que l’on ait une idée que l’on défende aussi, il n’y répondra qu’avec un respect sans faille et se lancera dans un débat sans fin, jusqu’à ce qu’il obtienne raison, ou bien reconnaisse son tort. On peut ainsi le comparer à un philosophe, au sens propre du terme. Sa grande force de volonté le pousse à se dresser tel un pic lorsqu’il est face à un point qui le déplait, quitte à mettre sa propre sécurité en péril.

Il en est en revanche tout autrement quand il s'agit de ceux qui auront réussi l’exploit de prendre l’étiquette « ennemi », face à eux, il ne répond qu’avec un comportement aux antipodes de ce qu’il a habitué le monde à voir. Ainsi, lorsqu'il fait face à un adversaire, il change radicalement de tempérament et se montre alors sans pitié pour le camp adverse. 

   Il fut un temps où le monde ne ressemblait en rien à ce qu’il est maintenant.  Un âge d’or pour toute civilisation, un minuscule moment sur l’échelle de la vie, où les mortels comme immortels prospéraient. C’était une époque bénie, où les hommes vivaient tous dans la joie et la paix, où des notions telles que "famine", "guerre" et "pauvreté" n’existaient pas dans ces contrées. 

   Ces calamités ayant été éradiquées par un être de légende qui veillait de manière éloignée, mais non moins intéressée au bon déroulement des choses. Sous sa houlette, la durée de vie des hommes était au moins de quatre fois supérieure à l’actuelle, à travers les nombreuses grâces et bienfaits qu’elle leurs offraient sans rien demander en retour que fidélité et respect. Nous n’étions plus à l’aube des temps où cette monstruosité à œil semait la zizanie sans vergogne, sans que nul autre qu’une entité puisse y faire quelque chose. Kaguya, l’être qui avait stoppé l’ébranlement primordial avait instauré à l’aide de sa descendance, un paradis dans le monde.

   Cette reine qui semblait venir d’outre-monde avait su annihiler cette obscurité qu’avait créée sa mère dans son combat, et rallié le monde entier à sa cause pour ériger cet éden, qu’elle dirigeait non pas en souveraine, mais en guide et mentor de l’humanité. C’était avant la venue des ninjas, une époque qui vit naitre et grandir l’une des plus nobles âmes qu’ait pu un jour connaitre le monde, celui que tous appelleraient le Sage des Six chemins. Très peu de gens le connaissent, c’est d’ailleurs le cas du monde entier en fait. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, faire un inventaire de tous les faits d’armes et actes de bravoure de cet être nous prendrait plus d’une vie, du fait de ce cruel manque d’informations. Aussi, plutôt que de chercher à tout savoir, tournons-nous vers la vie qu’il a pu offrir aux générations futures, en initiant les hommes au précepte du Ninshü, un art qui était censé préservé la vie, mais qui sera malheureusement corrompu après la disparition de cet être fantastique, pour devenir ce que les contemporains se laissent aller à appeler Ninjutsu.

   Tout ceci a commencé il y a bien longtemps, dans une contrée des plus reculée de la Terre, une zone qui se veut être devenue une source d'histoires fastidieuses. C’est en ce lieu que l’on dirait coupé du reste du monde que naquit celui qui devait devenir avec le temps, héros de la plus grande saga shonen du monde rp.

Dit maman, pourquoi les oiseaux volent-ils ?

Je ne saurais vraiment te dire pourquoi mon petit, mais je pense que c’est parce qu’ils ont tout ce qu’il faut pour.

Tout ce qu’il faut pour…. Mais alors si j’ai ce qu’il faut alors je peux faire ce que je veux ?

On va dire…

   Encore une journée en forêt qui s’annonçait. Au menu cette fois, récolte de fruits, cueillette de champignons, et ramassage de branches sèches pour le feu. Quand on y prête un peu plus attention, on peut se dire que la vie était drôlement belle pour cette famille, loin de tout, tranquillement installée dans cette forêt vierge. Protégée des atrocités que le monde pouvait bien connaitre en ces temps troubles.

   Un père aimant, une mère attentionnée et un petit bonhomme pas plus haut que cela qui a soif de comprendre le monde qui l’entoure. En ce temps-là, qui aurait bien pu un jour se douter que les nombreuses querelles que connaissaient les groupes ethniques finiraient par aboutir en un désastre cataclysmique. Désastre qui, ne serait surement jamais envisagé par ce trio qui ne se doutait de rien, profitant tranquillement de la vie à l’abri des regards en ce lieu qu’on aurait pu considérer comme un paradis perdu.

   Cependant, cette vie paisible que menaient ces trois personnes toucheraient bientôt à sa fin.   En effet, un évènement allait bouleverser à tout jamais le quotidien de cette charmante famille. En ces temps troubles, un vent nouveau se levait, annonçant une réunion de famille qu’Akihito, le chef de famille semblait redouté. Pourquoi donc ? Pour le moment, nul ne le savait.

   Quarante-septième génération de la famille Jiken, servant actuellement sa seigneurie le Daimyo du Vent, j’appartiens à un groupe clanique qui se targue fièrement d’être de la lignée directe du Sage des Six chemins, sans même avoir avancer un jour une preuve de cela. Je suis Kyösaku Jinpachi Jiken, et ceci est mon histoire !

   Enfin, quand je dis mon histoire, je dirais que cela est vite dit. Je suis née un onze m’a dit maman… mais à vrai dire je me souviens pas trop du mois. C’est dommage parce qu’elle a à me le rappeler à chaque fois que je lui demande mais je retiens pas…. Enfin, ce qui est bien avec ma maman c’est qu’elle est trop gentille. Quand je me fais mal quelque part elle vient me donner un gros bisou et la douleur s’en va. En plus elle sent trop bon ma maman. On croirait une vraie fleur tellement c’est doux et léger.

    Je vous ai dit qu’on habitait dans une cabane dans les bois? Non?  Excusez moi, c’est de ma faute. Je suis parfois très tête en l’air quand je rencontre des nouvelles personnes… Enfin excusez-moi… c’est juste qu’on croise presque jamais personne ici, dans notre petit monde à nous. Si vous le vouliez je pourrais vous faire la visite guidée. Je connais la forêt par coeur. Comment cela se fait que si jeune je connaisse la forêt? Et bien à vrai dire depuis que j’ai appris à marcher je passe le clair de mes journées à l’explorer. C’est tellement bien la forêt. J’y ai croisé pleins d’animaux, des gentils et des méchants...Surtout des méchants, mais après on est devenu amis.

   Si c’est possible d’être ami avec un animal? Personnellement je vais dire que je suis assez chanceux, il m’a fallu du temps pour que tigrou par exemple m’accepte. Au début je me rappelle il essayait toujours de me manger le vilain et puis il y a eu ce soir de pluie où il avait ses petits coincés que papa et moi avons réussi à sauver. Il m’avait mordu le bras jusqu’à ce que je saigne puis il s’était calmé et avait finalement lâché. Après ça on est devenu très proche. Chaque matin c’est lui qui vient me chercher pour qu’on aille se balader en forêt. C’est qui tigrou? C’est l’ours brun qui veille sur la forêt tout le temps. Si vous faites du mal à quelqu’un ici, il viendra pour s’occuper de votre cas, parce que tigrou… Et bien il est trop fort tigrou… Mais il va me manquer tigrou parce que papa a dit qu’il fallait qu’on parte.

    Il dit qu’il a des gens importants qui veulent le voir et que je dois rencontrer. à vrai dire, moi ça m’inquiète parce que j’ai jamais vu papa faire une tête aussi sérieuse et inquiète en parlant de quelque chose. Mais si ils sont méchants avec papa je dirais à tigrou de les faire partir….Et puis moi, et bien j’ai pas envie de partir…

Si on part et que tigrou a des ennuis comme la dernière fois qui va l’aider? C’est ici chez nous… Pourquoi on doit partir?

Tu n’as pas envie de rencontrer le reste de ta famille?

Ils sont jamais venus nous voir eux… Pourquoi on devrait y aller nous?

Kyö, c’est vraiment important, après cela si tu veux on reviendra!

Tu le promets maman?

Promis mon tout beau..

   Elle a beau avoir promis maman, moi cela me fait toujours bizarre de partir, j’aurai plus de lait frais de chèvre chaque matin, on va faire que rester à dos de cheval toute la journée. Les pauvres vont devoir marcher longtemps avec nous sur leur dos...