Origine de l'avatar : akashi seijuro kuroko no basket
Identité : Eishiro
Surnom : Le rubis de Kusa
Sexe : Homme
Âge : 10 ans
Date de naissance : en automne
Village déserté / Errant : ni l’un ni l’autre… ?
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Clan : Nakagawa
Grade : ?
Rang : B
Kekkei Genkai : Jûryokuton (gravité)

(Nous demandons un minimum de 5 lignes, svp!)
Je suis un enfant fin et plutôt grand pour mon âge, les médecins pensent que je dépasserais surement les un mètre quatre-vingt avant mes dix-huit ans.  

Ma peau est plutôt claire, mais bronze facilement au soleil tout en restant douce et fragile à la fois. Jusqu’à présent je n’ai jamais eu le moindre coup de soleil de ma vie, mais je n’irais pas non plus bronzer une journée entière dans ce désert qu’il appelle pays du vent et non pays du sable…


Je suis née en automne avec des cheveux mi- long d’un rouge étincelant et d’un regard envoutant, mais même si la noblesse les compares a des rubis je ne serais pas qu’un simple trésor à protéger j’en fais le serment, même si je suis obligée de porter l’insigne du seigneur de Kusa.


De tous les enfants de la famille royale du kusa je suis le seul  avec ma sœur à devoir porter ce magnifique bracelet en argent représentant l’insigne du seigneur Kusa. J’en aurais été honoré s’il ne me considéré pas simplement comme son héritier.
Malgré mon statut de trésor, mon bracelet m’ouvre de nombreux lieux dans le pays de l’herbe et dans ce palais, me laissant énormément de possibilité, mais passons ce passage pour plus tard.


Je porte régulièrement des vêtements plutôt sombre et luxueux, mais j’adore aussi le blanc et d’autres coloris, mais le noir reste plus discret. Mes haut sont souvent a manche longue afin de camoufler le bracelet a de potentiel voleur de rue, mais aussi pour ne pas attirer trop l’attention.

(Nous demandons un minimum de 10 lignes, svp!)
Depuis mon plus jeune âge je sais que ce monde est cruel et que la moindre erreur peut nous nuire, voir nous tuer...

De nature calme et assidue j'apprends vite ce qu'on m'explique, mais j'assimile trop rapidement ce qui ne rend pas mon apprentissage facile pour mes nombreux tuteurs que les nobles me trouvent.

En effet mon père  le seigneur de Kusa je ne le vois que rarement, mais je n'ai jamais manqué de rien père s'assure que tous mes désirs soient des ordres, mais au fond à ses yeux je ne suis qu'un être fragile qu'il admire les rares fois où je le rencontre lors de ses maudites réunions de famille.
Mon nom est celui du seigneur de Kusa et je dois par conséquent me montrer exemplaire et majestueux envers le monde, afin de ne point nuire à sa majesté.

Par chance ma petite sœur et née en même temps qu'un membre de la branche principale et s'entend à merveille avec lui et n'aura pas à se soucier de son avenir si elle l'épouse et échappera même à ces jeux politiques.

Mais en réalité seuls mes compétences de ninja intéressent réellement les nobles et ne comprennent pas toujours pourquoi le seigneur m'autorise à faire ce que je veux dans le palais.
Cependant le seigneur de Kusa me força à m'entraîner des fois jour et nuit jusqu'à ce que j'assimile chacune de mes leçons.

Néanmoins, je ne voyais jamais le seigneur à la maison et ne devait jamais le déranger au travail, mais dès qu'il était seul je lui sautais au coup.
Cela vous semble peut-être cruel de subir autant de pression à mon âge, mais j'ai vécu la majorité de mon enfance à m'entraîner et dissimuler mon pouvoir aux envahisseurs de Tsuchi no kuni.

Ma famille me tient à cœur et je donnerais tout ce que j'ai pour ne pas les décevoir, même si je suis un génie pour mon âge il m'arrive de faire des erreurs et entre nous le moindre faux pas pourrait nous être fatal un jour ou l'autre.

J'espère qu'un jour je serais quelqu'un d'autre qu'un simple trésor aux yeux de mon père, malgré tous mes efforts et son admiration, je peux voir dans ses yeux que je ne suis qu'un simple rubis à protéger.
Malgré le fait que je sois libre de faire ce qui me plaît dans le pays de Kusa cela ne m'apporte aucune satisfaction, car je n'ai aucun véritable amis et je n'ai le droit d'amener personne avec moi dans les lieux dit interdits.

Mère a eu l'autorisation comme d'autres nobles qui s'occupent de moi de me récupérer dans cette fameuse salle au trésor, car après tout qu'est-ce qui me différencie d'un objet de cette pièce ?

Personnellement je ne m'énerve quasiment jamais (sauf si on touche à ma petite sœur ou à ma boite a musique en forme de montre à gousset), je suis peut-être un peu trop réfléchie, mais pour moi l'erreur n'ai pas quelques choses d'envisageable et je n'hésite pas à me montrer tactique voir des fois sournois lors de mes combats.

Je ne supporte pas l'injustice ou ces nombreux jeux politiques que je trouve futile, mais je dois faire bonne figure et m'adapter à la situation et rester le plus majestueux possible.

Les femmes de la branche principale s'amusent avec mère à faire des achats pour moi afin je sois plus présentable possible et finalement j'adore tous ces moments pourtant si futile.

Pour résumer je ne suis qu'un simple génie plutôt gentil qui cherche à devenir un jour quelqu'un d'important aux yeux du seigneur de Kusa et le jour notre indépendance sonnera peut être ma libération à ce vaste monde.

Car même si je suis l'héritier, je veux découvrir ce vaste monde et devenir un quelqu'un de plus important qu'un simple prince et de toute façon même si je devais mourir le royaume possède aussi une autre héritière.

(Nous demandons un minimum de 15 lignes, svp!)
Vous connaissez déjà une partie de mon histoire que voulez-savoir de plus ? Plus de détails ? En général c'est moi qui me renseigne sur les autres, mais bon vu que c'est obligatoire...

Mon histoire commence 10 ans avant ma naissance, mère n'avait que 15 ans quand elle tomba lors d'une mission frontalière sur un jeune noble de la famille royale de Kusa répondant au nom de Kirei qui questionnait les habitants de ce petit village, mais malheureusement pour lui la jeune femme se prénomma Hikari Nakagawa et le seigneur de Tsuchi no kuni n'apprécier guère les intrusions.
Cependant la jeune femme se montra conciliante et le ramena jusqu'à la frontière.

Durant le trajet le jeune noble lui posa plein de questions sur les conditions de vie des habitants de ce grand pays, mais la jeune femme resta silencieuse et lui demanda pourquoi un noble s'intéresserait aux villages des autres pays.

Le jeune noble lui expliqua qu'il ne voulait pas un jour faire les mêmes erreurs que ses voisins, mais aussi qu'il ne trouvait pas dans son pays de fleur digne de ce nom.

Mère ne comprenait guère son intérêt étrange pour les fleurs, mais passa vite son chemin en le saluant avant de repartir.


En l'an -18 Hikari rencontra à nouveau Kirei dans ce même village, mère exaspérait lui expliqua que malgré son statut de noble il pourrait finir enfermer quelques jours en prison pour avoir franchi illégalement la frontière, mais que par chance elle était contre les méthodes radicales du régime, mais ne trahirais pour rien au monde son clan.
Le noble se mit à rire devant cette femme qui était restée muette ou presque lors de leur première rencontre et qui tout d'un coup se vanta d'être altruiste et rebelle à la fois, la jeune femme bougonna le reste du trajet se sentant humilié.

Par la suite le jeune noble semblait avoir totalement disparue de cette frontière lui qui venait presque tous les mois chez Madame Goya la noble en charge de ce village. Malgré le fait qu'il la taquiné elle le trouvait attachant à force de le fréquenter.


En l'an -15 le village caché d'Iwa fut créé et la jeune Hikari partit en mission secrète près du village frontalier, mais malheureusement elle fut trahie à la fin de sa mission par sa collègue qui était jalouse du clan Nakagawa et lui expliqua qu'elle n'avait rien vue de toutes les horreurs de guerre que faisait le daimyo.

Car même si la jeune ninja était devenue l'une des meilleures instructrices du clan Nakagawa, elle ne faisait que des missions de surveillance ou d'arrestation et ne connaissait rien de toutes ces horreurs cité par sa collègue, mais trop confiante elle déclara Hikari Nakagawa morte dans l'explosion.

Hikari fut sauvée de justesse par des habitants du village de madame Goya sans la moindre cicatrice un vrai miracle, mais sa vue avait légèrement l'obligeant à porter des lunettes pour lire ou écrire.
La jeune femme était terrorisée par les vérités qu'elle avait apprises de sa collègue, madame Goya inquiète de sa sécurité l'envoya chez une noble du nom Meiko à Kusa.

En l'an -14 cela faisait un an qu'elle était partie de son pays et trouva une vie paisible, mais le hasard voulue qu'elle rencontre à nouveau le noble Kirei dans une plaine remplie d'orchidée sauvage, surprise elle ne prononça pas un mot et se cacha rapidement derrière un arbre, mais Kirei la rattrapa en se moquant d'elle une fois de plus et trouva comique le fait qu'elle se retrouve à Kusa à son tour.

Le visage de la jeune femme s'assombrit et se mit à pleurer, ne sachant que faire Kirei arracha une fleur d'orchidée qu'il lui plaça dans sa magnifique chevelure écarlate tout en la rassurant, en lui disant qu'elle était en sécurité et qui la protégerait de tous les dangers.

Madame Meiko surprise par la présence de Kirei ne dit rien de sa véritable identité à Hikari, mais ce long silence interrogea les soupçons de la Nakagawa, mais pour une fois elle s'en fichait et pensait avoir trouvé son prince charmant.
Kirei prévient la jeune femme qu'elle apporterait du sang neuf à la noblesse et qu'elle serait fortement appréciée pour cela, mais qu'elle n'échapperait pas aux cours de politique et de savoir vivre.

Hikari fut d'abord surprise que son prince charmant était en réalité le daimyo de Kusa et compris pourquoi ces maudits cours étaient obligatoires, mais s'échappa souvent voir la brave dame Meiko qui lui avait rendue un immense service.

Le daimyo de Kusa avait finalement épousé Hikari en l'an -12, tout en rendant l'image de sa femme un symbole de liberté et de joie dans tout le pays.
Les nobles trouvaient cela comique venant d'un homme qui voyageait jusqu'au pays de la terre par pur caprice de revenir avec une si jolie femme originaire de Tsuchi no kuni.


En l'an -10 j'ouvris les yeux pour la première fois en plein milieu de l'automne, mes parents étaient étrangement triste et heureux à la fois à ce moment, mais jusqu'à mes quatre ans a parts des courts avancés pour apprendre à lire et à écrire, j'eu une enfance plutôt simple avec ma petite sœur Seika, qui est de deux ans ma cadette.

Mère avait changé radicalement d'apparence en apprenant l'invasion d'Iwa dans notre beau pays, son changement fut tellement drastique, que même nous on ne l'avait pas reconnue au début, mère était visiblement passé inaperçu ou presque auprès des ninjas d'Iwa.

De toute façon étant considérait comme morte dans son propre pays aucun ninja ne savait qui elle était, mais certains membres du clan Nakagawa rester souvent perplexe devant elle.



A l'âge de quatre ans, le seigneur de Kusa me donna un bracelet me donnant l'accès à toutes les zones du palais et le symbole inscrit sur le bracelet me faciliterait soi-disant l'accès partout dans le pays.
Ce bracelet symbolisa mes privilèges, mais aussi mon statut de trésor du seigneur.

J'ai toujours été très à l'aise à faire l'éviter les objets autour de moi ou pour concentrer la gravité dans un sens ou un autre, mais je devais toujours en apprendre plus et faire ce que fallait pour rendre fier mère et surtout pour ne pas se faire démasquer par l'envahisseur de l'origine de mes pouvoirs qui pourraient mettre en danger toute ma famille.

Les rares moments où j'étais au palais je m'amusais à distraire mon père où je contemplais cette grande salle remplie de merveille et de richesse la salle du trésor royal, mais toujours en espérant valoir mieux qu'une simple pierre précieuse.

Je devais toujours entrer dans les salles dites interdites aux publiques sans personne avec moi, mais cela n'était pas un problème vu que je n'avais pas vraiment d'amis en dehors de ma famille et de quelques nobles je ne connaissais personne d'autres.

Mère engagea en secret une nukenin du nom de Nozomi pour nous former ma sœur et moi pendant qu'elle était au palais avec père et la nuit mère se chargea régulièrement à notre formation, même si j'étais étrangement doué pour mon âge Nozomi m'appris grandement à camouflé mes pouvoirs.


Lors de mes huit ans je fis témoins d'une arrestation musclée en plein centre-ville d'une jeune femme pour avoir volé un morceau de pain, c'était certes la loi, mais je ne pensais pas que c'était une raison de la violenter de la sorte.
Je convainquis ma tutrice de payer en mon nom l'amende de cette pauvre femme, pour me remercier elle me donna rendez-vous à un spectacle de musique où elle jouait une triste mélodie au piano.



J'appris que cette mélodie symboliser les conditions de vies des plus démunies, depuis que la noble madame Goya avait été assassiné sans raison, par une personne du quartier qui voulait devenir célèbre et quitta comme par enchantement la ville sans laisser la moindre trace.

J'appris ensuite par mes parents que madame Goya les avaient aidés par le passé et voulait limiter les sanctions radicales en prenant en charge la surveillance d'une ville pauvre de Kusa.

Cette histoire hanta mon esprit et ne justifiait pas, selon moi une purge du quartier pour un seul homme, cependant la politique reste encore et toujours complexes, mais elle est rarement appliquée sans raison et cela devait sans doute garder l'unité de la noblesse de leur pays en ordre.


Durant mes nombreux séjours dans le village de dame Meiko qui s'occupait de moi jusqu'à mes neuf ans mourra dans les mêmes circonstances que madame Goya, celle qui me rassurait et qui m'avait offert cette merveilleuse boite à musique était partie pour toujours...



Tant de souvenirs se mélangeaient à mes larmes ce jour-là, mais la noblesse d'Iwa se contenta juste de faire une nouvelle purge qui fera de nouvelles victimes.

En l'an 0 la contre-attaque du Rikudo libéra Kusa du pays de la terre, m'offrant davantage de liberté, mais seul cet assassin me tourmentait.

De nos jours la gravité et les sceaux sont mes armes et si je trouve un jour cet assassin je vengerais de façon noble je l'espère votre mémoire Madame Meiko.

Mais ma tutrice Nozomi me reporta des informations sûr de possible suspect, il était tant pour moi de voyager en dehors des frontières, mais la noblesse me stoppa net et me ramena directement au palais...

Finalement, mon père m'accorda l'autorisation de voyager avec Nozomi, mais je devais retourner régulièrement au palais ou écrire une lettre si mon voyage était plus long que prévue.

L'insigne de la noblesse de Kusa n'est connue que par les autres nobles ou surement les personnes riches et ne m'aiderais guère dans mes voyages.
Cependant mon père n'est pas idiot il avait confié à Nozomi de nombreuses tâches diplomatiques et commerciale afin de montrer au monde que le pays de Kusa était de retour dans le commerce mondiale.