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Hyûga NeweeKonohajin
Hyûga Newee
MessageSujet: Liens Hyûga Newee   Liens Hyûga Newee EmptyVen 23 Déc - 19:19
Hyûga Newee
23 ans
Médecin/Herboriste
Konohajin
Genin
B
Célibataire


résumé
Avant de commencer à vous conter la vie de la petite Newee, nous allons remonter bien plus tôt dans sa vie. A une époque où les villages n’étaient pas et où chaque clans ce battaient pour sa propre survit au dépend de celle des autres. C’est à cette époque que la roue du destin ce mit en marche pour que la jeune femme voit le jour et devienne ce qu’elle est devenue plutôt qu’une femme froide suivant un protocole qui l’obligerait à perdre une part de son humanité.

Clan Hyuga :

Hidan Hyuga n’a jamais été un enfant à problème, fierté de son clan et futur dirigeant du clan, son père était fier de lui. Pourtant un événement vient briser l’assurance de ce jeune homme. Il avait un jumeau, comme souvent dans la famille principale, et lors d’une ronde de de garde autour du Temple Rikudo, il fut attaqué. Son jeune frère, de trois minutes son cadet, arriva pour l’aider à défaire l’ennemi. Ensemble, les jumeaux étaient puissants. Sans doute plus puissant que l’actuel chef, mais ils n’aiment pas en abuser. Ils restaient tous deux très humbles, préférant protéger les leurs que de se vanter d’un tel pouvoir.

Mais passons les pourquoi du comment. Ce qu’il vous faut retenir, c’est qu’Itsuo, le jumeau, fut blessé par la faute d’Hidan. Trop sûr de lui, le jeune homme qu’il était n’a pas pris la peine de vérifier que son frère se trouvait à une distance raisonnable avant de lancer son attaque, et le malheureux fut pris dedans, gravement blessé. Dois-je vous expliquer les dégâts physiques reçu par le pauvre homme ? Ou puis-je le passer ? Hum… D’accord, merci de ne pas m’obliger à me rappeler de cela, c’est très aimable à vous. Donc, Hidan, en frère dévoué, ramena chez lui Itsuo, mal en point. Alors qu’on le soignait, il fut appelé par son paternel, qui voulait un récapitulatif de la mission et de ce semi échec. Ils auraient dû s’en sortir sans blessures. Honteux, l’homme se mit à genoux devant son père, prenant sur lui plus que la responsabilité de la blessure de son frère, mais également celle de la fuite des agents ennemis.

Une longue conversation, ou plutôt monologue, s’en suivit. Le père parlait, l’aîné écoutait. Plus les remontrances allaient, plus le fils redevenait un enfant aux yeux de son père. Et se sentait de plus en plus minable. Incapable. Jusqu’à cette phrase qui finit de faire sombre le jeune homme dans un trou noir et sans fond.

« Jamais tu ne seras digne de diriger le clan. Regarde-toi ! J’avais placé tous mes espoirs en toi, tu semblais parfait pour prendre ma suite, mais une simple erreur et tu sombre. Une vie de perdu en mission n’a rien d’anormal. Nous aurions honoré ton frère. Mais même cette attaque… Tu aurais dû la voir venir. Tout avait été planifié, tu étais mis à l’épreuve, et tu as lamentablement échoué. Tu n’es pas fait pour être chef, mais je ne peux te destituer car ainsi va la loi du clan : l’aîné doit prendre les rênes. Mais tu ne feras jamais un bon chef, le clan sombrera si tu ne t’endurci pas fils. »

Vous l’aurez compris, il venait d’être trahis par les siens. Et de perdre le respect et l’admiration de son père. Il s’inclina et sortit, sans un mot. Ce qu’il ne sut jamais, c’est que sa mère arriva dès sa sortie et se disputa avec son père, sur la façon dont celui-ci l’avait traité. Le père lui-même s’en voulait un peu, mais il devait rendre l’enfant plus fort, sans quoi le clan serait véritablement perdu. Mais rapidement, la santé du cadet se détériora et tout le monde oublia cette histoire, l’inquiétude les rongeant. Tous, sauf Hidan, qui y réfléchissait, en cauchemardait même. Et comme possédé par un esprit malin, cherchant à l’enfoncer encore plus, il finit par prendre à cœur les mots de son père. Il s’enferma un long moment dans sa chambre, pleurant comme un enfant. Refusant de sortir, de voir du monde. De plus, il ressentait ce lien si unique qui lie les jumeaux se détériorer. Une nuit, il se réveilla en sueur, criant le nom de son frère. Sans attendre de s’habiller, il sortit en courant, allant dans la chambre de son frère et vint se coller à lui, le prenant dans ses bras en priant pour ne pas qu’il parte par sa faute.

Ainsi passa la nuit la plus difficile pour le jeune homme, il resta là, longtemps. Et se rendormit. A son réveil, chose étrange que personne ne put expliquer, son frère le regardait en souriant faiblement. Il était en meilleur état que la veille. Magie du jumelage me direz-vous. Peut-être bien… Toujours est-il que la guérison d’Itsuo se poursuivait. En un rien de temps, il fut de nouveau en pleine possession de ses capacités, comme si de rien était.

Un soir, quelques semaines après l’accident, lors du repas, Hidan se leva et déclara abandonner le poste de futur chef et qu’il quittait le clan pour ne pas être une honte aux yeux de tous. A ce moment-là, il n’y avait que la famille principale, donc ils se permirent d’être choqués et de le regarder comme s’il était devenu fou. Le frère fut sans doute le plus choquer. Car cela signifiait que ce serait à lui de diriger le clan. Une violente dispute éclata entre père et fils dont je vous passerais une nouvelle fois les détails. Toujours est-il qu’ils en vinrent aux mains et que le fils eut le dessus sur son père, le laissant blessé sans le tué et prit la tangente. Ainsi, Hidan Hyuga quitta sa famille pour s’endurcir dans ce monde dont il ne connaissait que les frontières du territoire familiale et du temple.

Le temps passa rapidement. Sans argent ni renommé, il devint un Nukenin, un ninja sans attache. Mais plus le temps passait et plus il développait ses capacités en solitaire, se tirant vers le haut, devenant meilleurs. En quelques années, le nom d’Hidan Hyuga devient le Fantôme Blanc. Ce nom fut murmuré le soir, lorsque l’on racontait les histoires effrayantes. Seule une personne connaissait la véritable identité de ce fameux fantôme : Itsuo Hyuga. Lui et son jumeau avait été incapable de couper les ponts et s’échangeait des missives privées, se donnant mutuellement des nouvelles.

Quelque part en ce monde :


Connaissez-vous le clan Nokomi ? Non ? Je m’en doutais. Sachez que ce n’est pas un clan très connu, restant dans l’ombre des puissants, loin des guerres et des conflits, aimant la paix que la nature leur apportait. Ce clan est un spécialiste de la médecine. Celle avec le chakra que beaucoup connaisse, mais aussi celle par les plantes, les mixtures ou les cataplasmes. Infusions ou opérations, ils ont une grande connaissance du corps et des bienfaits de la nature. Mais ils sont capables de vous donner plus de cinquante façon de mourir dans la minute grâce à tout un tas de plante, poison animal ou encore une pression à un endroit précis du corps. Mais ils sont très peu, et plus le temps passent, moins ils survivent. Pourquoi ? Une étrange maladie se propage dans les gênes, dues à la consanguinité. S’ils sont de redoutable médecin/assassin, ils ont une loi : ne jamais s’unir à une personne extérieure au clan. Pour en préserver les secrets. Mais au fils des ans, des problèmes apparurent. Stérilité, problème mentaux, sociopathe, déformation physique, anomalie des pouvoirs….

Le patriarche prit alors une décision. Toutes les femmes de moins de vingt ans quitteraient le clan pour ce trouver un époux et permettre au clan de survivre. Nombre de membres n’acceptèrent pas cela mais il fallait se rendre à l’évidence : le clan déclinait. Ainsi commença le périple d’Aleshanee Nokomi. Celle qui rit avec la lune… Elle mit des années à parcourir le monde, affrontant mille et un périples pour au final croiser la route du Fantôme Blanc, une nuit de pleine lune. Passons les détails de cette rencontre qui conduit à la naissance de notre protagoniste principale et sachez simplement qu’Aleshanee refusa rentrer  chez elle, préférant suivre son époux et vivre avec lui. Car cet homme lui offrait un nouveau monde, un qu’elle ne connaissait pas. Au début, il lui cacha sa double vie : simple bucheron le jour et assassin sanguinaire la nuit. Mais rentrer blesser un soir  n’aidait pas a garder se secret. La belle femme à la peau mate était alors enceinte de quelques mois. Alors il lui avoua tout et elle le pardonna à condition qu’il arrête. Ce qu’il fit, pour elle. Il avait trouvé sa stabilité et ce qui le poussait à être fort, mais pas simplement en tant que combattant mais en tant qu’homme. Ce que jadis son père lui avait dit lui revint en mémoire, lui tirant un sourire amusé. Jeune, il avait fui. Sans comprendre ce que signifiaient les mots de son défunt père, aujourd’hui il comprenait. Il avait mis le temps, mais il avait trouvé son but.

La naissance de sa fille fut là deuxième nuit la plus horrible de sa vie. Sa femme l’avait mis hors de leur maison, souhaitant accoucher seule comme le faisait les femmes de son clan depuis des milliers d’années. Contrairement aux croyances, l’accouchement n’était pas la chose la plus difficile en ce monde. Ce qui poussait les femmes à stresser et à avoir peur (ce qui engendrait un accouchement douloureux) était la peur et la pression mise par les proches et les médecins. Mais dans son clan, la naissance n’était pas le moment le plus important d’une vie. C’était le don du nom de l’enfant, environ deux ans après sa naissance, lors de ses premiers pas. C’est à ce moment-là, quand il aura survécu aux premières années difficiles de sa vie, que l’enfant ne fera qu’un avec le clan et qu’une fête aura lieux. Deux heures durant, la femme accomplit son devoir, sans qu’aucun cri de douleur ne traverse la porte. Puis, un toussotement, un gémissement presque inaudible et enfin le premier cri du nouveau-né résonna contre les flancs de la montagne d’où vivait le couple. Hidan se précipita pour voir son enfant, encore couvert du sang de sa mère. Il la prit dans ses bras et c’est alors que la petite ouvrit les yeux. Les mêmes que ceux de son père alors qu’elle avait tout de sa mère dans le physique. De la teinte de sa peau, a la forme de son visage, si exotique et unique. Une larme roula le long de la joue du nouveau père. Enfin, il avait son trésor…

La vie continua dans ce coin reculé de la forêt, loin de tous. Quand l’enfant pu marcher, ses parents lui donnèrent le nom de Newee et commencèrent à lui apprendre tout ce qu’elle devait savoir pour pouvoir vivre. La chasse, la discrétion, se fondre dans le décor, cuisiner, coudre ses vêtements, ne jamais abuser de rien et ne prendre que le nécessaire, l’art de la médecine de par sa mère, et la manipulation du chakra et du byakugan par son père. Sans le savoir, celui-ci la formait à devenir une shinobi digne du clan. Maniements des armes, du chakra, l’espionnage (ou ce qu’il en savait mais elle n’excellait pas du tout le dedans, passant son temps à regarder ailleurs au bout d’un moment) et le corps à corps. Qu’elle soit apte à ce défendre en cas de problème.

Lorsqu’elle eut environ quatre ou cinq ans, elle n’en est pas certaine, son père disparut un beau jour. L’enfant s’en inquiéta mais pas la mère qui semblait au courant de ce qu’il se tramait. Plus tard, Newee apprendra que son paternel était partit à la recherche de son neveu, le fils d’Itsuo, enlevée alors qu’il n’était qu’un jeune enfant. Dès lors, ses parents commencèrent à la mettre en garde sur le monde du dehors (c’est ainsi qu’ils appelaient le reste du monde) et sur les humains le peuplant. L’humanité avait perdu tout espoir aux yeux de sa mère, non pas qu’elle soit haineuse, mais elle protégeait sa fille de ça, l’empêchant de voir le monde et de comprendre l’humain. Pour faire passer le manque de compagnie que pouvait parfois ressentir l’enfant, ses parents lui enseignèrent la lecture et l’écriture. Mais cela ne fit pas oublier à Newee qu’elle voulait découvrir le monde. Plus elle en apprenait sur la géographie, plus elle voulait voyager, là où personne n’était encore allé. Elle voulait aller au-delà des frontières que les cartes montraient, certaine que le monde ne se limitait pas à cela. Mais elle ne pouvait, et s’en rendra compte plus tard, faire ainsi. Il y avait des choses qu’une enfant rêvait de faire et que la réalité du monde lui prouvait qu’elle ne pouvait accomplir.

Suite à certaine fuite de l’enfant pour lui trouver compagnie, son père fini par lui offrir un animal de compagnie. Un petit jaguar apeuré. Newee apprit, avec douleur, à apprivoiser l’animal sans lui faire de mal. De fil en aiguille un lien indéfectible lia les deux. Et la jeune fille prit lentement une attitude plus féline, plus taquine. Loin de ce à quoi son père fut habitué enfant. Et celui-ci pria que jamais sa fille ne connaisse la rigueur de son clan. Aquene et Newee étaient comme deux sœurs et les parents virent leur fille évoluer différemment. Au fil du temps, la jeune Hyuga apprit à marcher dans bruit, comme son amie féline, à devenir une excellente prédatrice, apte à ce faire oublier mais prête à bondir à n’importe quel moment. Et elles s’amusaient beaucoup. Sans pour autant jamais rencontrer d’autres humains. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que ses parents tuaient tous les intrus qui entraient sur leurs terres.

Alors qu’elle approchait la vingtaine, Newee et Aquene firent une rencontre qui les bouleversera à vie. A terre, alors qu’elles se baladaient plus loin que d’ordinaire, gisait ce qui semblait être une fillette, d’environ une dizaine d’année, aux cheveux plus clair que ceux de la sauvage, le teint plus pâle et visiblement mal en point. Si ce n’est l’odeur particulière qu’elle dégageait, elle n’avait pas un regard dit humain, mais bon plus animal, comme une bête blessée, prête à tuer pour survivre. Et ses grognements… Elle imitait un loup. En d’autre circonstance, cela aurait fait rire Newee, mais ce qu’elle voyait sur le tibia de la pauvre enfant l’en empêcha. Elle voulait l’aider, ainsi commença-t-elle à lui parler. Mais rien ne semblait passer le brouillard de douleur de l’enfant. Alors elle approcha, provoquant les feulements d’Aquene. La jaguar n’aimait pas ça, elle restait en alerte, prête à tuer si quelque chose tournait mal. Mais Newee savait que ça n’irait pas jusque-là. Enfin non, elle ne savait pas. Elle espérait. Comment pourrait-elle expliquer un cadavre d’enfant à ses parents sans que ceux-ci ne pense à ce débarrasser de l’animal qu’ils trouveraient dangereux… ?

Newee secoua sa tête et tourna autour de l’enfant, à distance raisonnable pour voir la blessure sans ce faire déchiqueter. Après un examen rapide, la jeune femme constata que la peau était ouverte franchement, qu’il ne semblait pas manquer de morceau de chair mais un morceau d’os dépassait. Elle devait avoir bien mal. Et peur. Mais Newee ne s’arrêta pas. Comprenant que l’enfant ne se calmerait pas sans aide, la sauvage prit une sarbacane et une fléchette qu’elle trempa dans un flacon sorti de son sac. De la menthe poivrée en huile. Elle souffla ensuite et atteignit l’enfant à la cuisse. Celle-ci poussa un cri et foudroya du regard celle qui tentait de l’aider. Lentement, elle vit l’enfant se détendre malgré elle et s’approcha pour faire vite. Arrivant à ses côtés, Newee sorti un bol, un flacon d’argile blanche et de l’huile de basilic. Elle mélangea le tout et l’appliqua rapidement sur la plaie, s’en servant comme désinfectant. Une fois le cataplasme bien en place, elle attrapa la jambe au niveau du genou d’une main et vers la cheville de l’autre avant d’inspirer pour se calmer. Aquene fait le guet autour d’elles, les protégeant alors que la jeune femme tire d’un coup sec sur les deux parties de la jambe pour la remettre en place. Malgré l’anesthésiant/relaxant, l’enfant hurla et Newee sentit son cœur se serrer. Qu’elle détestait faire du mal, même si c’était, techniquement, pour son bien. La jeune femme appliqua une nouvelle couche de cataplasme sur la blessure et prit une  bande de tissus propre avec laquelle elle banda la plaie. Il ne lui restait qu’à maintenir la jambe pour éviter que la petite, qui était tombée dans les pommes sous le coup de la douleur, ne décide de se relever et de fuir au risque d’empirer sa blessure.

La jeune fille alla rapidement briser deux branches épaisses à l’aide de son chakra, comme son père le lui avait appris plus jeune, et les travailla pour en faire deux planche rudimentaires qu’elle posa de part et d’autre de la jambe de l’enfant avant de maintenir le tout avec une corde solide. Le résultat n’était pas beau et elle devrait le resserrer assez fréquemment pour ne pas que la jambe ne bouge. Une fois tout cela fini, elle prit l’enfant inconsciente dans ses bras et chercha un endroit où la mettre en sécurité. Après un temps de recherche, elle dénicha une petite caverne où elle déposa l’enfant avant de partir, non sans lui avoir laissé de l’eau et de quoi manger. Elle revint tous les jours vers sa patiente, qui grognait toujours à son approche mais la laissait désormais la toucher sans tenter de la mordre. Il lui fallut trois mois pour que son os se consolide parfaitement et encore un peu de temps pour qu’elle est une rééducation. Cinq mois après leur rencontre, Newee venait encore la voir, dès qu’elle pouvait, ayant nommée l’enfant Nashoba, qui signifie loup. Pourquoi ce nom ? Il suffisait de voir la famille de l’enfant pour comprendre.

Ainsi donc, elle avait enfin une amie. Ou petite sœur, tout dépendait de comment on voyait les choses. Eclipsons-nous jusqu’à ce triste jour, il y a semaine de cela. Newee était de plus en plus souvent seule chez elle, ses parents partant à la recherche de ce cousin disparurent. Elle ne comprenait pas pourquoi elle ne pouvait pas venir, les aider mais il en était ainsi. Chaque fois qu’ils partaient, son père lui disait quand ils rentreraient. A un ou deux jours près, sans quoi c’est qu’ils étaient morts et elle devrait prendre l’enveloppe sur le  bureau de son père et trouver le village caché de la feuille : Konoha. Voilà donc presque cinq jours de retard. Newee s’inquiétait de plus en plus mais refusait de les croire morts. Il y avait mille et une possibilité pour que ses parents soit autant en retard. Ainsi continuait-elle à passer ses journées en forêt, cherchant Nashoba qui ne semblait plus là. Pas plus que les loups qui lui servaient de famille. Le monde avait-il donc décidé qu’elle devrait rester seule à jamais ?

Aquene c’était éloigné et gambadait. Newee, perdue dans ses pensées, sursauta quand elle entendit la plainte de son jaguar. Elle courut pour voir ce qu’il pouvait bien la pousser à ça quand elle se stoppa. Devant elle se trouvait les cadavres de ses parents, dans un certain avancement de décomposition… Elle eut mal au cœur mais ne pleura pas. Elle donna les rites que sa mère lui avait appris et fis brûler leurs corps. Après quoi, elle rentra dans ce qui avait été sa maison, prépara un petit sac avec ses maigres affaires et pris la lettre de son père. Enfin, elle fondit en larme. Elle ne savait pas ce qui avait pu pousser à la mort de ses êtres si cher à ses yeux, mais les faits étaient là, ils ne reviendraient jamais et elle allait devoir s’aventurer loin de chez elle…

Commença donc le voyage de Newee. Elle savait où se trouvait « normalement » le village mais n’étant jamais sortie de chez elle, elle ne pouvait en être certaine. Ainsi, le voyage dura une semaine et plus d’une fois elle dû demander son chemin. Aujourd’hui, son deuil était fait et elle se trouvait devant les portes du village, n’osant pas approcher. Qui sait ce qui l’attendait là-bas ? Plus d’une fois, elle avait lu la lettre. Et plus d’une fois, elle  avait hésité à faire demi-tour. Mais il fallait qu’elle rencontre sa… « Famille ».
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Amitié : Toute sorte d'amitié ou presque
Amour : Une personne qui fasse découvrir ce monde là à Newee
Maître : Un ou des personnes qui l'aideront à évoluer en tant que Shinobi
Ennemi : La personne ayant tué ses parents, entre autre
Connaissance : Personne(s) qu'elle voit fréquemment sans pour autant bien le/la connaître
Et tout autre lien proposé est le bienvenu :D





Dernière édition par Hyûga Newee le Jeu 19 Jan - 18:59, édité 3 fois
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Hyûga NeweeKonohajin
Hyûga Newee
MessageSujet: Re: Liens Hyûga Newee   Liens Hyûga Newee EmptyVen 23 Déc - 19:38
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Dernière édition par Hyûga Newee le Jeu 19 Jan - 18:30, édité 6 fois
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Hyûga NeweeKonohajin
Hyûga Newee
MessageSujet: Re: Liens Hyûga Newee   Liens Hyûga Newee EmptyVen 23 Déc - 19:39
♦ Femmes ♦

Amie de Newee. Enfin, amie... Elles se connaissent depuis quelques années, depuis que la jeune femme lui a sauvée la vie et remit en place son tibia cassé. Newee appel l'enfant louve "Nashoba" et elle tiens beaucoup à elle. Sa soudaine disparition à fait du mal à Newee mais ne pouvant rien faire de plus, elle a continuée à vivre

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Hyûga NeweeKonohajin
Hyûga Newee
MessageSujet: Re: Liens Hyûga Newee   Liens Hyûga Newee EmptyJeu 19 Jan - 18:40
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