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Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon]Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
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Hyûga NeweeKonohajin
Hyûga Newee
MessageSujet: Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon]   Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon] EmptySam 24 Déc - 15:04
Début d'un nouveau monde ~


La fraicheur matinale réveilla la jeune sauvageonne qui s’étira en poussant un bâillement sans aucune grâce ni délicatesse que l’on aurait pu lui accorder de par son physique un peu chétif… Elle n’était pas vraiment petite mais mince. Quoi que si l’on regarde ses formes, elle ne paraissait pas si mince en fait. Mais qui s’en soucie. Sa douceur naturelle faisait d’elle une personne que l’on prenait pour délicate et bien élevée, comme une petit princesse. Toujours est-il qu’elle s’étirait et que dans son dos résonnait le bâillement d’Aquene, le jaguar inséparable de la petite Hyûga. Ce bruit, presque effrayant rassura Newee, elle ne se sentait pas si seule avec sa compagne de voyage, quand bien même la mort de ses parents creusait un trou douloureux au milieu de sa poitrine. Et elle savait, sans vraiment comprendre comment, qu’aucune médecine en ce monde ne pourrait boucher se trou et faire disparaitre cette douleur latente. Peut-être qu’un jour celle-ci ce muerait en douleur sourde avec laquelle la brunette aurait appris à vivre… Secouant la tête pour ne pas y penser, elle se leva en s’étirant de tout son être, tel un félin, avant de s’approcher du ruisseau près duquel elle avait passé la nuit et plongea son visage dans l’eau froide. Fermant les yeux, elle resta de longues secondes ainsi, lavant son visage et son esprit. L’eau vive emportait les soucis de l’esprit et purifiait le corps selon sa mère, ainsi mettait-elle un point d’honneur à le faire tous les jours.

Ce ne fut que lorsque ses poumons, en feu, la supplièrent de relever la tête qu’elle le fit. Offrant son visage nettoyé de toutes impuretés à la chaleur encore timide d’un soleil levant. Rien au monde n’était plus agréable pour elle que ce moment-là. Se réveiller en même temps que la Terre Mère et profiter des merveilles qu’offrait la nature… Aquene s’étira aussi, bien moins vive le matin que sa camarade humaine et s’avança peureusement pour venir boire. Chose que Newee fit à son tour. Puis elle piocha dans ses maigres réserves piochées chez elle pour grignoter un morceau, ne doutant pas que le jaguar trouverait de quoi se nourrir d’ici peu de temps. Une fois son repas fini, elle sortit une racine de Miswak qu’elle se mit à mâchouiller en marchant. Ainsi, elle se lavait les dents et la bouche, quand bien même le goût avait de quoi répugner certain. La plante se mettant à mousser dans sa bouche, elle ne se retint pas pour cracher le surplus à intervalle régulier. Plus que de chercher le village où était censé ce trouver le clan de son paternel, la jeune femme cherchait un point d’eau lui permettant de se laver sommairement avant de reprendre la route. Peut-être avait-elle passé sa vie à vivre en forêt, mais elle ne négligeait pas son hygiène, tenant tout le savoir pour cela de sa défunte mère.

Lorsqu’enfin, elle atteignit un point qui lui plut, la jeune femme se déshabilla et entra dans l’eau pour se laver et retirer les résidus de peinture que la nuit n’avait pas effacés. Une fois propre, elle se laissa sécher au soleil, adorant le poids de la chaleur de ses rayons sur son corps. Enfin, elle sortit ce mélange de poudre minérale, ou pigment comme disait son père, et un petit bol. Elle fit un mélange avec l’eau et créa une petite pâte qu’elle entreprit de déposer sur son corps, en formes et motifs qui avaient les significations du peuple de sa mère. Lorsqu’elle fut satisfaite de son corps, elle se pencha au-dessus l’eau pour voir son reflet et commença à peindre son visage en un masque rouge sur la partir supérieur, encadrant ses yeux blanchâtre de rouge, ainsi que son front. Une fois prête, elle renfila son pagne et le haut cachant sa poitrine. Au même moment, la féline rejoint sa partenaire en se léchant les babine. Souriant en flattant le col de la prédatrice, Newee se remit en chemin en suivant les indications sur la carte qu’elle avait trouvé avec la lettre. Elle ressentait de plus en plus d’appréhension en approchant de ce fameux village. Qu’allait-elle y trouver ? Comment étaient les humains ? Et surtout… Arriverait-elle à trouver sa place dans ce monde diamétralement opposé au sien ? Vivre en autarcie de société était un choix que ses parents lui avaient imposé, néanmoins, elle se sentait bien, dans la nature. Mais la haine et la violence humaine l’avaient rattrapées et la preuve en était les cadavres de ses parents découverts une semaine auparavant…

Aquene du sentir la tristesse envahir de nouveau sa sœur, car elle lui donna un doux coup de museau dans la cuisse, avant de glisser sa tête sous la main de la jeune femme pour réclamer de l’attention, ce qui fit sourire la petite Hyûga qui chassa au loin ses pensées tristes. La mort n’était pas une fin en soit, simplement le début d’un autre cycle d’existence. Mais le manque était là et c’était cela qui la rendait triste et la blessait. Enfin… Elle poussa un soupire et regarda son amie. Elles reprirent leur route, avançant sans vraiment se presser alors que le soleil continuait sa course inlassable à travers le ciel. Des fois, elle se demandait pourquoi le soleil n’arrêtait jamais d’avancer, toujours sur le même chemin, comme si… Comme s’il poursuivait un but sans fin, éternelle… Un vague sourire étira ses traits.

-On va y arriver Aquene… On va y arriver…

Alors  qu’elle prononçait ses mots, elle perçut les premiers bruits d’un lieu de vie. Un lieu de vie bourdonnant, remplit comme…. Une ruche. Géante. Elle déglutit difficilement, sentant l’anxiété prendre le pas sur sa raison. Elle avait peur. Peur de ce qui l’attendait hors des bois, peur des gens, peur de cette nouveauté qui s’offrait à elle. Elle qui n’était habituée qu’à la forêt et à une vie calme, loin de tout, elle n’était pas certaine de réussir à trouver sa place ici. Elle n’était pas bonne comédienne selon son père, ce qui était une qualité pour lui mais un grand défaut dans la vie parmi les humains. Trop sincère, trop sensible, trop franche… On ne lui avait pas appris comment se débrouiller ici. Enfin, en théorie, si. Mais la pratique se révèlerait bien plus compliquée et elle le savait d’avance. Et accepteraient-ils Aquene ? Il était hors de question qu’elles soient séparées. La jeune femme commença à vouloir faire demi-tour, ses pieds trainant de plus en plus. Tout comme le bruit augmenta au fur et à mesure de son approche, son envie de fuir grandissait. A telle point qu’elle en eut les larmes aux yeux…

Le feulement presque menaçant d’Aquene fit revenir Newee sur terre et calma sa crise d’angoisse aussi vite que celle-ci était venue. Le manque d’air qu’avait pu ressentir la jeune femme se dissipa. Si l’anxiété resta, elle avait été mise en sourdine, permettant à la petite sauvage de se reprendre et de se calmer avant de faire le premier pas hors des bois. Non sans plonger sa main dans la fourrure du jaguar. Sensation familière et rassurante qui lui fournissait le courage dont elle avait besoin pour tourner la dernière page du premier chapitre de sa vie, se retrouvant devant une page vierge. Blanche. Inconnu. Elle avait un peu peur, ce qui était normal face à la nouveauté, surtout quand celle-ci dépassait votre imagination. Quand on lui avait parlé d’un village, la jeune fille avait imaginée quelque chose de sobre et discret. Mais il n’en était rien. Devant elle se tenait une véritable forteresse entourée d’un mur si haut qu’il faudrait être un géant pour voir par-dessus. Il ne semblait pas y avoir d’autre entrée que cette porte démesurée aux yeux de la jeune sauvageonne. Les portes avaient les couleurs des feuilles d’arbres e, plein été, une couleur qu’affectionnait beaucoup Newee mais elle ne trouvait pas cela très… Discret pour un village censé être caché. Au-dessus de la porte se trouvait un symbole que la jeune femme avait déjà aperçut sur quelques missives de son paternel. Elle sut qu’elle était au bon endroit.

Son pied sur posa une nouvelle fois sur le sol et elle fit son deuxième pas. Enclenchant la machine, elle avança lentement, presque craintive, de cet endroit dont son père lui avait tant parlé. Elle voyait pour la première fois une architecture humaine, de ses propres yeux, et dut admettre que c’étaut vraiment… Prodigieux. Mille et une questions inondèrent son crâne. Comment avaient-ils fait ça ? Comment ça fonctionnait ? Elle voulait connaître, sa soif d’apprendre prenant le pas sur tout autre sentiment que la jeune femme pouvait ressentir. Elle passait de la peur à l’émerveillement, sans pour autant que l’anxiété ne disparaisse… Aquene, elle, feulait se mettant en place pour attaquer. Elle avait senti une présence, toute proche. Newee aurait dû le sentir aussi mais elle était simple submergée par ce qu’elle voyait… Pourtant, on lui avait appris à être toujours sur ses gardes, mais ce monde-là… L’hypnotisait comme jamais…


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Hyûga KanonKonohajin
Hyûga Kanon
MessageSujet: Re: Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon]   Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon] EmptyLun 26 Déc - 23:01

Rencontre aux portes de Konoha!
Bienvenue à Konoha...feat. @Hyûga Newee

Le quartier du clan Hyûga est de plus en plus loin derrière moi, laissant place aux rues animées du village caché de la Feuille. Une épicerie, une boulangerie, un marché, des résidences, un parc, voilà ce que j’aperçois dans ma course. Quelques rues plus loin, je croise l’Académie Ninja, le bureau du Hokage, puis l’Hôpital. L’Hôpital de Konoha. Je me stoppe brutalement, reprenant mon souffle.

On ne peut guérir mes yeux dans un Hôpital, du moins, pas pour le moment. Dans dix ans, vingt ans, trente ans, cinquante ans peut être, mais pas avant. En attendant, j’ai toujours mes lunettes noires sur mon nez, lorsque je sors en plein jour. C’est mieux que d’être en permanence aveuglé par la lumière. Elle n’était pas encore aussi puissante qu’à midi, étant donné de l’heure matinale, puis assez puissante pour que je la craigne. Aussi loin que je m’en souvienne, j’en ai eu peur et je l’ai détesté pour cela. J’aurais aimé que le jour soit la nuit, et que la nuit soit le jour. J’aurais aimé ne pas être touché par cette maladie. L’achromatopsie incomplète.

Mère aurait sans doute été moins dure avec moi. Peut-être qu’elle m’aurait moins haïe ? M’a-t-elle haïe un jour ? Pourquoi me surprotège-t-elle si soudainement ? L’accident de papa l’a finalement fait réfléchir ? J’en doute fort. Peut-être que je la voie différemment. Peut-être que j’ai moins peur d’elle. Peut-être que je me suis libéré d’elle et de ses règles encombrantes ? Insaisissable ? Je n’en sais trop rien. Je ne veux pas savoir.

Ce que je veux, c’est prendre l’air, et m’éloigner de ces règles contraignantes. Je me précipite vers la rue principale, la dévalant le plus rapidement possible. Le vent vient caresser mon visage et emporter mes cheveux sur son chemin. Il s’infiltre dans mes vêtements, glaçant ma peau à son contact. J’ai froid, vivement que le printemps arrive. Oh, non, que l’automne soit là ! La fraîcheur de l’hiver ne semble pas vouloir s’envoler, mais le soleil peut frapper étonnamment fort. N’y a-t-il pas une saison qui combine des nuits longues, comme l’hiver, et une température plutôt chaude comme le printemps ? Je n’en ai jamais rencontré de telle, et ce n’est pas près d’arriver.

Au loin, je vois les grandes portes du village de Konoha. J’y suis déjà. Elles sont toujours aussi impressionnantes ! Moins que le visage de pierre du Hokage, mais tout aussi spectaculaire ! Je salue les ninjas chargés de la sécurité des portes. Ils doivent être habitués à mes petites escapades maintenant : ce n’est pas la première fois que je sors brièvement de Konoha sans être mandé pour une mission, et ce ne sera surement pas la dernière. Parfois, j’ai la désagréable impression d’être opprimé, alors prendre l’air me fait du bien. J’en ai besoin.

Je m’avance vers les portes, m’appraite à les franchir, mais… Je ne peux pas. Il y a cette peau mate et ces yeux blancs, pupille caractéristique de mon clan. Des Hyûga. Comment cela se fait-il ? Pourquoi ? Qui est cette personne ? Comment est-ce possible ? Une voleuse de Byakugan ? Non, aucun Byakugan a été volé, à ce que je sais. Serait-ce donc naturelle ? Les Hyûga ont le teint aussi blanc que mien ! Uniquement ceux que j’ai rencontrés… Y a-t-il d’autre Hyûga avec cette peau au Village de la Feuille ? Assurément que non, cela se saurait. Elle est une énigme, une question, un problème, une non-conforme aux règles comme moi et mon achromatopsie.

« Bonjour ! Vous venez d’arriver ? À moins que vous rentriez de mission ? Ou de voyage ? C’est drôle, vous savez, on a les mêmes yeux. »

La femme, d’un âge plus mûr que le mien, semble émerveillé par ce qu’elle voit. Comme un papillon, son regard virevolte de-ci de-là, ne sachant pas sur quoi se poser. Elle est différente des autres, j’en suis sûr. Sa manière de marcher, de se comporter, et même le félin à ses côtés… Sans ses yeux, j’aurais pu la prendre pour une Inuzuka. Et si c’est bien le cas ? Que faire ? Comment agir ? Le gros chat tacheté montre ses crocs, menaçant, grognant. Je le fixe des yeux, captivé, et m’approche de lui.

« Tu es jolie. On ne croise pas des personnes comme toi ici, tu sais ? Il y a bien des chats, des chiens, mais un félin comme toi… Tu ne vas pas le mordre, hein ? Je ne suis pas sûr que cela soit une bonne façon de dire bonjour. Ou bien, tu ne m’aimes pas ? Ça, c’est une autre histoire. »

Je crois que je vais vraiment me faire mordre, et mère ne risque pas d’apprécier. Elle aime si peu de chose de toute façon. Je ne sais pas si j’ai bien fait de parler ainsi au félin de la jeune femme. J’ai sans doute été trop familier et pas assez respectueux. Pas assez polie… Je déglutis. Je sens que je vais le regretter.

« Pardonnez-moi, madame, de mon impolitesse, mais j’aime beaucoup les animaux, et dès que je l’ai vu, je n’ai pas pu m’en empêcher… »

La sentence va arriver. Je la sens déjà passer.
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Hyûga NeweeKonohajin
Hyûga Newee
MessageSujet: Re: Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon]   Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon] EmptyMer 28 Déc - 21:31
Pourquoi ? ~


Rien parmi ce que la jeune femme avait appris ne saurait égalé la beauté de l’art humain. Car l’architecture était un art non ? Enfin, selon Newee en tout cas. Et voir une chose qui égalerait presque la beauté d’un levé de soleil sur un monde couvert d’un manteau de neige avait de quoi émerveiller la jeune sauvageonne. Aquene feulait, menaçait l’étranger qui les fixait comme… Et bien, elle n’aurait su le dire puisqu’il portait des lunettes. Mais… Il semblait être encore un enfant, une âme pure selon elle. Mais Newee ne le vit pas tout de suite tant sa stupéfaction était grande. Ce ne fut que lorsque la féline feula, plus fort à son approche qu’elle arracha son regard de ce qu’elle voyait. Et elle le regarda, adoptant naturellement une posture plus souple, prête au combat. D’un naturel félin, sa façon de se mouvoir était aussi fluide que le jaguar qui restait à ses côtés. Elle ne pouvait se permettre de ne pas être capable de se défendre, même devant un enfant. En ce monde inconnu, tout ne pouvait être que mirage et malheur. Et elle ne tomberait pas dans un piège. Pas alors qu’elle touchait au but. Cependant, il ouvrit la bouche et elle l’écouta, sans montrer la moindre émotion. Jusqu’au moment où il parla de ses yeux. Si elle ne perdit pas sa posture défensive, elle pencha la tête sur le côté, curieuse. Mais elle ne pouvait rien voir avec ses machins cachant ses pupilles. Ainsi ne sut-elle pas s’il disait la vérité ou non.

Néanmoins, elle ne dit rien. Elle hésita même à répondre. En elle, un combat faisait rage, sans doute traduit pas un léger tique de la mâchoire qui se crispait  subrepticement  ou encore à l’air perdu que l’on pouvait lire dans son regard. Pour ceux capable de lire dans ses globes oculaires si uniques. Puis il fit une chose qui la surprit autant que cela l’attendris. Il parle à Aquene, sans la voir comme un monstre assoiffé de sang, sans qu’il ne la prenne pour un animal sauvage. Il se montrait doux avec elle, presque…. Hypnotisé. Comme elle plus tôt avec la ville. Ainsi c’était son premier choc culturel. Le citadin et la sauvage. Alors qu’elle allait ouvrir la bouche, se détendant, il se reprit, comme s’il pensait faire une erreur. Sa déglutition n’échappa pas à Newee, pas plus que cette façon de se tenir comme un enfant rossé depuis sa petite enfance pour une curiosité naturelle qui le poussait à être… Quelqu’un de bien avec les autres. Elle qui s’attendait à un accueil plus froid, plus… Détestable, voilà qu’elle avait l’impression d’être un monstre de cruauté ! D’un geste subtile de la main, elle calma l’animal qui s’étira avant de s’approcher de l’enfant pour s’allonger à ses pieds, tirant un sourire à la jeune femme. Son premier sourire depuis qu’il était apparu à elle.

-Pourquoi t’excuses-tu d’être curieux et de vouloir apprendre ? Est-ce donc ainsi que vous vivez-en ville ? Ignare de tout et s’excusant d’être, de vivre ?

La question était peut-être à côté de ce qu’il lui avait demandé, mais elle ne comprenait vraiment pas la raison de ses excuses. On s’excusait lorsque l’on faisait une erreur, du tort à autrui ou encore lorsque l’on affirmait une ânerie, mais pas pour… Ca. La jeune femme se mit à genoux, à même le sol pour se retrouver au niveau de l’enfant et pouvoir le « regarder » dans les yeux. Vu qu’elle ne pouvait voir à travers la vitre noirci, elle espérait qu’il n’avait pas peur d’elle. Elle prit alors lentement la main du jeune homme, l’amenant sur la fourrure de l’animal qui se mit presque aussitôt à ronronner. Corruptible animal par la chaleur d’une main inoffensive lui procurant de douces caresses. Quoi que maladroite, sans doute par la fascination que de toucher un jaguar aussi facilement. Sans doute devait-elle le mettre en garde contre le fait qu’en pleine nature, les jaguars ne se laissaient pas approcher si facilement…

-Vois-tu, elle aime ça… C’est à moi de m’excuser et non l’inverse. A cause de mon admiration pour tout ce qui nous entoure, je n’ai pas fait attention à ta présence, ainsi Aquene c’est mise en garde pour me protéger… Mais si tu apprends à la connaître et si tu deviens son ami… Peut-être te laissera-t-elle monter sur son dos…  Par contre, attention, ne t’approche jamais d’un jaguar totalement sauvage, tu y perdrais la vie, tu me le promets ?

Elle s’inquiétait. Peut-être lui rappelait-il Nashoba et son instinct protecteur ressortait d’un coup. Douce et sincère, elle lui offrit un sourire qui n’avait aucune face cachée. Pour autant, elle avait vu son regard presque résigné, son corps se crisper et elle avait compris. Sans doute par sa vie en pleine nature, elle savait comme réagissait un corps qui avait mal, ou qui avait l’habitude d’avoir mal. Et il agissait de même. Loin d’être idiote, elle comprit qu’il avait l’habitude de souffrir. Mais plus que son corps, ce devait-être son cœur qui souffrait le plus. Alors, avec l’instinct le plus naturel, elle l’attira dans ses bras et le prit tendrement contre elle. Comme une mère le ferait. Ou une sœur. Elle ne savait pas que ce genre de chose ne faisait pas en société dite civilisée, mais elle s’en moquait royalement. Cet enfant avait besoin d’affection selon elle, pourquoi l’en priver ? Elle ne se targuait pas d’avoir vu juste, de savoir ou d’être capable de décrypter un être humain, ainsi, peut-être se trompait-elle, sans doute même. Mais un câlin, c’est toujours bienvenu non ? Après quelques secondes, elle se recula puis sourit de nouveau.

-Je me mêle de ce qui ne me regarde pas mais… Que fais un enfant ici, seul ? Je… Non, laisse. Tu n’as pas à répondre à une étrangère. Au passage, je m’appelle Hyûga Newee, fille d’Hyûga Hidan… Sais-tu où puis-je trouver le clan Hyûga ?

La sauvageonne doutait qu’il accepte si facilement de la conduire là-bas comme si de rien était. Après tout, elle n’était qu’une étrangère dans cette ville ou semblait fourmiller mille et une vies. Elles s’entre croissaient  avant de se séparer pour vivre chacune de leurs côtés. Son père le lui avait expliqué une fois : les gens qui vivent dans les villes et villages sont tous nombrilistes, sans capacités de comprendre le monde qui les entourent, se prenant pour les plus forts et les plus développés. Sauf que le monde regorgeait de créatures et de monstres. Elle le savait, elle en avait vu si souvent depuis son enfance… Et l’humain est un de ses monstres… La jeune femme se redressa et fouilla dans son sac pour en sortir la lettre de son paternel et la tendit a l’enfant pour qu’il puisse la lire et qu’il soit témoin de sa bonne foi. Elle esquissa un sourire, un peu plus triste. La lettre, bien que sommaire, expliquait qui elle était et s’adressait à Hyûga Itsuo, son oncle et chef du clan. Mais elle n’en savait rien. Qui penserait que l’enfant disparut eut une fille aussi peu banale qu’elle ? Une sauvage parmi la royauté… Mais cela, elle ne pouvait le savoir…

A Hyûga Itsuo,



Mon frère, si cette lettre te parvient de la main d’une jeune femme qui se nome de la même façon que je te l’ai présentée de nombreuse fois dans nos échanges hebdomadaires, sache que c’est que je ne suis plus, j’ai rejoint nos ancêtres au cœur même de la Terre .

Ne soit pas triste de ma perte mon frère, je t’aime et je t’ai toujours aimé. Notre séparation fut la chose la plus douloureuse que j’ai fait dans ma vie mais j’ai eu une vie heureuse et bien remplis, libre  comparé à toi, je m’en excuse. J’aimerais que tu ne me tiennes pas rigueur de ma fuite mais le temps a prouvé que mon instinct avait raison : tu es un bon chef. Contrairement à moi.

Je sais que je t’ai beaucoup demandé en ne révélant rien à personne sur moi et ma situation, ainsi, je comprendrais que tu puisses refuser ma dernière requête : accepte ma fille au sein du clan, guide la et veille sur elle. Je sais qu’elle n’est rien de ce que tu as l’habitude, elle est… Elle tout simplement, comme sa mère. Mais elle est notre joyau et j’aimerais la préserver encore un peu de la cruauté de ce monde…

Merci d’avoir pris le temps de la recevoir et si tu acceptes, saches qu’Aleshanee et moi te remercions depuis notre nouvelle vie…

Adieux mon frère,

Hyûga Hidan.


Voilà ce que contenait la lettre, ni plus ni moins. Enfin, aux yeux de la jeune femme, peut-être y avait-il un message caché quelque part, elle n’en savait rien. Elle ne voyait que la surface des choses, pas le reste… Aquene se relevait paresseusement, une douce brise se levait et fit voler les cheveux de la jeune femme, agitant ses plumes colorés et faisant bouger ce qui lui servait de vêtements, sans la dénuder.  Son odeur chaude, sucrée et boisée fut portée par le vent, l’enfant la sentirait-il ou non ? Elle ne savait pas. Alors qu’elle allait lui parler de nouveau, son ventre émit un grognement caractéristique de la faim, la surprenant un peu. Une douce rougeur apparut sur ses joues et elle esquissa un sourire contrit.

-Excuse-moi, je n’ai pas mangé depuis ce matin… Veux-tu manger avec moi ? Je n’ai pas grand-chose mais je peux aller chasser si tu veux !

Elle lui avait proposé ça de bon cœur, sans arrières pensées, naturellement. Accepterait-il ? Elle l’espérait de tout cœur en tout cas. Le soleil pesait délicieusement sur sa peau et elle se mit à espérer que le premier konohajin qu’elle rencontrait ne l’enverrait pas sur les roses, ni ne la laisserait se débrouiller seule dans ce monde qui lui,était inconnu.


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Hyûga KanonKonohajin
Hyûga Kanon
MessageSujet: Re: Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon]   Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon] EmptySam 14 Jan - 22:09
Rencontre aux portes de Konoha!
Bienvenue, oneesan...feat. @Hyûga Newee

C’est le silence. Je ne parle pas, je ne bouge pas, attendant avec appréhension la réaction de la jeune femme. Elle est immobile, et me regarde attentivement, comme si elle avait vu quelque chose d’étrange, d’irréel. Je frissonne. Tout cela va mal se passer. Et le gros chat. Il me fixe de ses yeux ronds aux pupilles en fentes noires. Il ouvre sa gueule, montrant ses belles dents tranchantes. Il veut me sauter dessus. Je recule d’un pas. C’est un prédateur. Je suis sa proie. J’écarquille grand les yeux : le félin hérisse ses poils, sort ses griffes, et se prépare à bondir sur moi. Il veut me mettre hors d’état de nuire. Sous sa puissance, je pourrais facilement y laisser ma vie, et mère ne me le pardonnera jamais. Ce félin est dangereux.

D’un signe de la femme, la bête se détend. Elle rentre ses griffes, ferme la mâchoire, s’étire quelques instants, puis vient se loger à mes pieds. Toute son hostilité a disparu. Je souris. Finalement, le gros chat n’est pas aussi méchant qu’il n’en a l’air. Je suis tenté de caresser son pelage qui semble si doux, mais je me retiens, l’attitude agressive de l’animal encore en tête. Je n’ai pas envie de me faire manger la main.

Puis, la femme prend la parole. Enfin ! J’aurais pu la croire muette. Je détourne alors mon attention du félin, pour me tourner vers la jeune femme, attendant une sentence qui ne vient toujours pas. Peut-être que ce n’est pas son genre, de punir. À la place, elle pose des questions plutôt bizarres. S’excuser d’être curieux et de vouloir apprendre ? Vivre ignorant ? Ne pas vivre ? Je fronce les sourcils, réfléchissant à une réponse logique et consiste.

« La curiosité est un vilain défaut, c’est pour cela que je m’excuse : ma curiosité vous a sans doute gêné, voir déplut. Cette curiosité vient de l’ignorance des connaissances, c’est pour cela qu’il est important d’apprendre pour ne plus être ignorant et curieux. De ce fait, on ne peut pas s’excuser de vouloir apprendre, puisque tout le monde en a le droit : pour gommer cette curiosité et cette ignorance qui horripile plus d’un, il faut apprendre. Pour apprendre, il faut vivre. On ne peut pas s’excuser de vivre, car dans le cas contraire, cela veut dire qu’on n'en a pas le droit. Or, tout le monde a le droit de vivre. »

La femme se met alors à ma hauteur, s’agenouillant à côté de l’animal. Je ne comprends pas. Elle me prend ma main, la refermant dans la sienne plus grande. Pourquoi faire ? Je n’ai plus à lever les yeux pour apercevoir son visage, il n’y a plus cette distance que j’aime installer entre moi et les autres, ceux qui voient les couleurs. Pourquoi ? D’office, elle guide la paume de ma main vers le pelage doux et soyeux du félin. J’hésite, puis finalement, je me laisse aller, caressant l’animal soudainement devenu câlin, ronronnant de plaisir. J’ai raison, l’animal n’est pas si dangereux que ça… Ou pas, au vu des dires de la femme. Un jaguar sauvage est très dangereux, pas comme celui ici présent qui est domestiqué. Un jaguar ? C’est comme ça que ce gros chat se nomme ? Maintenant qu’elle la dit, c’est si évident ! Pourquoi n’ai-je pas reconnu cet animal ?

« Il n’y a pas vraiment de jaguar ici, à Konoha, madame. Je n’en avais jamais vu de mes propres yeux, autrement que dans les livres. Je ne m’en approcherais pas, c’est promis ! »

Et encore une fois, je ne comprends pas. La jeune femme me sert dans ses bras, me câlinant, et je la laisse faire, ne faisant rien contre. Si c’était ma mère, je me serais enfui depuis bien longtemps, mais avec elle, je ne ressens pas cette envie de partir le plus vite possible. Elle ne possède pas cette chaleur étouffante que possède ma mère, c’est peut-être pour ça. Je n’esquisse aucun geste, me contentant de cet élan de tendresse qui semble avoir pris la femme. Pourquoi ? Comment ? Câliner, n’est pas vraiment une action évidente. Je câline bien mes peluches, mon doudou, mais une personne à part entière ? Mon père me prenait bien dans ses bras, quand j’étais petit, mais cela remonte à si loin…

La jeune femme me lâche, et je lui souris. Elle se présente comme étant Hyuga Newee, file de Hyûga Hidan. Mon sourire s’agrandit. J’avais raison ! C’est bien une Hyûga ! Elle a les mêmes yeux ! Elle est comme moi, et elle cherche le clan, plus précisément Itsuo-sama, au vu de la lettre qu’elle me passe (bien que je ne saisisse pas bien le contenu, qui soulève des questions sans réelles réponses). Je hoche la tête, lui redonnant le papier.

« Je suis Hyûga Kanon, enchanté de faire ta connaissance, Newee-oneesan. Je peux te conduire au quartier réservé au clan, et à Itsuo-sama, si tu le souhaites. »

À nouveau, le vent se lève. Mes cheveux, le suivant, brouillent quelque peu ma vue, avant que je ne les remette correctement en place et que la brise ne se calme. Une douce odeur fleurie parvient à mes narines, rapidement caché par l’odeur de la nourriture des maisons des allentours. Je vais bientôt devoir rentrer manger à la maison. À cette perspective, je grimace. J’aimerais rester le plus longtemps possible loin de mère, elle se pose toujours trop de questions inutiles à mon sujet. Par chance, Newee-oneesan m’invite de manger avec elle, se proposant d’aller à la chasse. Je ne peux m‘empêcher de rigoler face à l’incongrue de la situation. Chasser ? Aller chasser alors qu’il y a des restaurants dans le village ? Alors qu’elle pourrait manger à la maison ?

« Il y a des restaurants, pas loin, Newee-oneesan. On peut y aller ensemble. Tu peux venir manger à la maison ! Je suis sûr que cela ne dérangerait pas mes parents. Mais, si tu le souhaites tant, je peux également aller manger avec toi, à ta façon. »

Mais dans le cas de la dernière option, je ne suis pas sûr que mère apprécierait...
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Hyûga NeweeKonohajin
Hyûga Newee
MessageSujet: Re: Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon]   Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon] EmptyMar 31 Jan - 20:02
Allons-y ~


La jeune femme ne comprenait pas la façon de penser de l’enfant qui lui faisait face. Rien de ce qu’il disait ne lui semblait logique ou juste. Elle avait même la sensation qu’il se cherchait des excuses pour être ce qu’il était et cela eut le don de mettre les nerfs à la sauvageonne. Elle qui n’avait jamais vécu avec d’autres humains que ses parents, elle ne pouvait comprendre la dure réalité de l’imbécilité qui régnait en ce monde sous prétexte que vouloir apprendre était mal. Elle en oublia même la peur qu’il avait pu avoir quelques minutes auparavant en voyant l’air agressif du félin qui l’accompagnait. Elle voulait le prendre par les épaules et le secouer dans les sens pour lui faire revenir l’esprit sur terre. Elle soupira et se pencha vers lui, toujours à genoux sur le sol.

-Ecoutes bout de chou, la curiosité est ce qui permet au monde de tourner. D’avancer. Comment crois-tu que les traités de médecines aient vu le jour ? Parce qu’une bande de curieux s’y est penchés dessus. Et comment connait-on le monde actuel ? A cause d’idiot curieux qui ont voyagés. La curiosité est ce qui fait marcher ce monde. Ce n’est pas un vilain défaut mais bel et bien la plus grande qualité de notre race mon petit !

Cherchant a passer outre tout ça, elle l’aide à faire connaissance avec Aquene, les regardant tous deux avec un sourire amusé non sans le mettre en garde contre les animaux réellement sauvage. Non pas que le jaguar ci-présent soit vraiment domestiqué mais bon… Finalement, présentation rapide en lui montrant la lettre de son paternel. Il la lut assez rapidement et se présenta à son tour comme un Hyuga, soulageant un peu la jeune femme. Ce clan était-il donc si rependu que la première personne rencontrée ici était de sa famille ? Elle sourit un peu plus quand il lui proposa de l’accompagner au clan. Elle hocha la tête alors même qu’elle commençait à avoir faim. Là encore, il la surprit en lui proposant de manger chez lui. Ce qui signifiait avec… D’autre comme elle ? C’était très tentant pour le coup. Mais pouvait-elle se le permettre ? Elle ne savait comment se tenir en société, rien que sa tenue en disait long sur son passé et sa couleur de peau… Allait-elle sortir de la norme ? Elle aimait cette couleur, celle de Kanon, qui avait la même que son père, y en avait-il d’autre comme elle ? Elle se mordit la lèvre en réfléchissant alors que la brise fit voleter ses cheveux et ses plumes autours de son visage, lui donnant un air encore plus sauvage.

-Je… Tu penses que je pourrais venir ? Je… Ma famille est morte il y a une semaine et bon… Je n’ai mangé avec personne depuis un moment… Crois-tu que le clan peut-être ma nouvelle famille ?

L’envie de découvrir les siens était immense. Mais la peur aussi. Elle ne savait pas ce qui avait poussé son père à quitter ainsi le clan, rien ne garantissait qu’elle soit la bienvenue ici, en arrivant comme un cheveu sur la soupe. Elle regarda le félin qui vint contre elle, se frottant a sa jambe, rassurant la jeune femme. Elle regarda l’enfant, et se pencha pour lui déposer un baiser sur le front. Elle lui demanda alors de la guider vers le clan… Très anxieuse.



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MessageSujet: Re: Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon]   Bienvenue à Konoha [PV Hyûga Kanon] EmptyVen 10 Fév - 11:32

Rencontre aux portes de Konoha!
Allons manger!...feat. @Hyûga Newee


Évidemment, il faut se rendre à l’évidence, je ne la comprends pas. Je la regarde avec de grands yeux, essayant, malgré tout, de saisir son point de vue. En vain, à humble mon avis. La curiosité, le moteur du monde ? C’est bien la chose la plus incongrue que j’ai entendu. Non, ce qui fait avancer le monde, ce n’est pas la curiosité, mais la nécessité. C’est pour guérir des maladies autrefois incurables que la médecine à évoluer. C’est pour trouver de nouvelles ressources et de nouvelles terres nécessaire aux peuples qu’on connait le monde d’aujourd’hui. Alors la curiosité, une qualité ? Je grimace rien qu’en y pensant. J’aimerais tant pouvoir faire part de mon opinion, lui dire que la curiosité n’est pas le centre du monde, mais…Je n’ai pas envie de la froisser, je n’ai pas envie que la discussion termine mal, je n’ai pas envie de me disputer avec elle. Alors je me tais, et je ne dis rien.

Puis, je fais la connaissance d’Aquene, qui semble moins dangereuse, et surtout de la lettre qu’elle doit donner au chef du clan. Je lui propose de l’accompagner au clan, de venir manger chez moi, avec ma mère et mon père, et Newee-oneesan devient soudainement…timide ? Elle hésite, comme si elle avait peur de faire un faux pas, comme si elle avait peur de ce qui pourrait arriver. Je penche ma tête sur le côté, signe de mon incompréhension. Pourquoi ? Elle est une Hyûga, alors pourquoi tant d’appréhension ? Je hausse les épaules, lui prend la main pour la rassurer, et commence à me diriger chez moi, dans le quartier du clan, comme elle l’a demandé.

« Bien sûr que tu peux venir. Je suis sûr que mère sera contente. Je ne ramène pas souvent d’ami à la maison. Et puis, tu es une Hyûga. Pourquoi le clan ne serait-il pas ta famille ? »


Je marche à travers la grande rue principale de Konoha, veillant à ce qu’Aquene et Oneesan suivent bien la route, en direction des quartiers résidentiels. Mois après moi, le décor est toujours sensiblement le même. Ici, il y a un restaurant ; là-bas, au loin, la résidence du Hokage ainsi que l’hôpital. L’odeur qui plane dans le village est celle de la cuisine. Pas besoin d’horloge pour connaître l’heur. Déjà, certains points de restaurations sont ouverts, servant les clients de leurs commandes.

« Qu’est-ce que Aquene mange ? Qu’est ce qui tu aimes manger ? Je ne sais pas ce que mère a préparé aujourd’hui, mais j’espère que tu aimeras, ainsi qu’Aquene. »

J’ai hâte d’aller manger.
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