Origine de l'avatar : Myron de Magi the labyrinthe of magic
Identité : Renko
Surnom : Ren, En
Sexe : Féminin
Âge : 18 ans
Date de naissance : Hivers de l'année -17
Village déserté / Errant : Iwa
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Clan : /
Grade : /
Rang : C
Kekkei Genkai : /

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Renko est une jeune fille apparaissant comme étant mince et mesure mètre cinquante-huit pour quarante-neuf kilos. Malgré son apparence qui pourrait nous laisser penser qu'elle est fragile et n'entraîne jamais son corps, c'est tout le contraire, se battre au corps à corps ne lui pose aucun problème. Elle se vêtit principalement de robes blanches qu'elle porte souvent avec quelques morceaux d'armure ou des protections légères. Il est à noter qu'elle porte constamment un pendentif en or. Sa démarche plutôt fière laisse apparaître la confiance que la demoiselle porte à ses capacités, ce n'est pas dans ses habitudes de se faire discrète.

Ce que l'on remarque en premier lorsque l'on croise Renko est sa longue chevelure ondulée dont la couleur oscille entre rouge et rose, ses yeux en amande arborent la même teinte. On note que la demoiselle a un piercing sous les lèvres et qu'elle porte souvent des boucles d'oreilles similaires à celui-ci. Son visage très expressif nous retransmet facilement ses sentiments et l'état d'esprit dans lequel elle se trouve.

(Nous demandons un minimum de 10 lignes, svp!)
Renko se montre plutôt énergique au grand malheur des victimes de son sale caractère qui se manifeste par le fait qu'elle soit particulièrement irritable et qu'elle se montre aussi bien exigeante avec soi-même qu'avec les autre. En effet, elle se met facilement en colère et des fois pour des raisons futiles, comme une marque de politesse oubliée, avoir osé salir ses vêtements ou encore, l'avoir décoiffer. Bien sûr, ces deux dernier événements se manifestent toujours en combat, mais elle est alors joyeuse.

Il est vrai que la demoiselle adore le combat, ainsi, il n'y a rien de mieux pour la mettre de bonne humeur. Lorsqu'elle se bat, elle en oublie tout le reste ce qui peut parfois l'énerver lorsque son moment de plaisir est fini. Plutôt sadique, elle aime bien faire durer le combat et s'amuser avec sa cible. De la même façon, elle tue rarement ses ennemis ou du moins pas lors de leur première rencontre préférant laisser une chance à celui-ci ou celle-ci de s'améliorer pour prendre sa revanche. Mais ne vous trompez pas, elle n'a aucun scrupule à achever quelqu'un, c'est juste qu'avec un peu de chance le prochain combat sera plus amusant.

Ren accorde beaucoup d'importance aux apparences, c'est pour cela qu'elle veille toujours à être bien habillée, coiffée et qu'elle essaie de se montrer le plus polie possible. Cependant, cela n'est valable que le temps qu'elle est calme, car lorsqu'elle est en colère, elle peut se montrer vulgaire ou peut avoir une subite envie de meurtres.
Mais n'allez pas croire qu'elle est stupide, elle se montre plutôt intelligente et il lui arrive de mettre en place des stratégies afin d'en finir rapidement avec un combat si son ennemi ne lui plait pas. Elle peut de la même façon se montrer patiente si l'attente est justifiée d'une façon ou d'une autre.

Très confiante, elle ne se remet jamais en question et dès lors qu'une faute est commise, elle rejette toujours la faute sur les autres. De plus, plutôt arrogante, la demoiselle ne supporte pas qu'on lui donne des ordres même si elle adore en donner. Elle apparaît aussi comme étant têtue, ne changeant d'avis qu'en de très rares circonstances.

(Nous demandons un minimum de 15 lignes, svp!)
Mes parents ont assisté à la création du village d'Iwa et s'y installèrent avec moi, dans le but de se poser et mener une vie tranquille. Ils étaient complètement opposés aux pratiques de notre village qui cherchait à envahir encore et toujours plus de terres, mais n'étant pas des shinobi ils décidèrent de se taire. Moi, je les trouvais vraiment impressionnants et j'avais envie de devenir une kunoichi à leur image. Je respectais... Non, j'admirais les combattant de mon village, c'étaient de véritables modèle à mes yeux... Je m'entraînais donc régulièrement dans le but de leur ressembler un temps soit peu.

Bien que les arts ninja m'intéressaient, j'étais très préoccupée par mon apparence, je m'inquiétais énormément de l'image que je renvoyais. Vous vous demanderez surement pourquoi et c'est tout à fait logique. Ma mère ne prenait pas vraiment attention d'elle et j'avais entendu des villageois parler d'elle, lui reprocher son manque d'élégance, se moquer de ses vêtements sales et souvent déchirés où l'on pouvait voir qu'elle les avait recousu à de nombreuses reprises. Ne supportant pas ce genre de commentaires, je veillais à m'habiller convenablement, passais du temps à me coiffer et me montrais polie.

Mon enfance était composée d'entraînements coupés par des parents trop collants qui ne comprenaient pas mes sentiments et s'opposaient à mon envie de devenir kunoichi. Ils ne se rendaient pas compte de ce que représentait le combat à mes yeux. Au bout d'un moment, j'en eus assez qu'ils me gênent tout le temps, aussi, je décidai de les éviter, nous vivions toujours ensemble, mais nous ne nous croisions même plus dans notre maison. Suite à cela, mes compétences s'améliorèrent plus rapidement, j'augmentais mon temps de travail et finissais souvent par dormir sur le terrain d'entraînement à cause du manque d'énergie pour me déplacer jusque chez moi.

Je me sentais enfin prête à prendre part au combat, lorsque ce qui devait arriver, arriva... Notre puissant village connu une défaite... Une défaite de trop...
Cette défaite m'attrista beaucoup, je me disais que si j'avais été plus grande et plus forte, j'aurais pu participer et peut-être permettre de gagner la guerre. D'ailleurs, la signature de l'Armistice me laissa un goût amère, je trouvais ça lâche d'abandonner le combat aussi facilement. Je trouvais ce comportement stupide, ridicule, indigne de tout ce que le village avait accompli jusqu'à maintenant... Iwa, connu pour ses conquêtes devint alors un village inoffensif qui abandonnait les armes, chose que je ne pouvais pas supporter...

C'en était trop pour moi... Je refusais d'être enchaînée à ce lieu, je ne voulais pas que tous mes efforts aient été inutiles, je refusais d'abandonner le combat... Je voulais me battre encore et encore, je voulais être libre de faire ce que je voulais où je le voulais et je refusais que l'on m'empêche de me battre, chose dont j'avais rêvé toute mon enfance. Je voulais m'améliorer encore et encore, je voulais faire étalage de toute ma puissance, prendre du plaisir au combat, me battre comme si ma vie en dépendait.

J'avais donc décidé de déserter mon village... J'étais passée à l'action durant la nuit pour semer la confusion, mais surtout pour me facilité la fuite. Je m'étais rendue dans la chambre de mes parents pendant leur sommeil, m'étant le feu à leurs rideaux. Avant de sortir de la maison, je pris la peine de placer un cadavre que j'avais pris la peine de déterrer pour le placer de la chambre, de manière à me faire passer pour morte. Je sortis ensuite de ma maison, vêtue d'une cape avec une capuche sur la tête pour cacher mon visage, avant m'en éloigner un peu pour finalement me retourner. Je voulais m'assurer de la mort de mes parents et de la destruction, par les flammes, de ce qui avait été ma demeure. Cependant, je ne voulais pas que l'on m'aperçoit et me questionne, c'est pourquoi je pris la décision de partir avant d'avoir pu contempler mon chef d'oeuvre. À Iwa, je connaissais toutes les rues, les raccourcis et les passages secrets, je ne rencontrai alors aucun problème pour sortir sans être vue.

Une fois sortie du village, je m'étais éloignée et j'avais pris la direction d'un autre pays, Ame no Kuni où je comptais habiter quelques temps. La pluie ne me dérangeait pas plus que cela et de toute manière, je ne comptais pas y être tout le temps, juste lorsque j'aurais besoin de repos. Je voulais avant tout voyager librement, m'entraîner et me confronter à d'autres personnes... Je n'avais plus à obéir aux lois d'Iwa maintenant que j'étais morte à leurs yeux, j'étais donc libre de faire tout ce que je souhaitais... Et s'il y avait le moindre risque pour que cela tourne mal, je pouvais faire appel au Henge no jutsu. Il n'y avait qu'à Ame où je veillais à me tenir à carreau car je n'avais pas envie de me chercher un autre endroit où me poser en cas de besoin.