Origine de l'avatar : Chara- UNDERTALE
Identité : Chiko
Surnom : Chi'
Sexe : n'en as pas. femme.
Âge : 19 ans
Date de naissance : -17 – Hiver.
---
Clan : Aucun
Grade : C
Rang : Genin
Kekkei Genkai : Aucun

Tu te regardes dans le miroir. Tu es à moité nue.

La première chose qui frappe chez toi, c'est ton aspect androgyne.  On ne saurait vraiment pas dire si tu es un homme ou une femme.  Que les choses soient claire tu es une femme . Mais au fond ça n'a pas d'importance.

Tu n'es pas très grande tu atteins à peine le mètre cinquante. Pas particulièrement épaisse. Pourtant tu es finement musclée par l’entraînement que tu subis. Tes mains possèdent des doigts plutôt longs et fin pour quelqu'un de taille, et sont calleuses par le maniement des armes. Tu es faite tout en finesse d'ailleurs. De tes épaules, jusqu'à ton visage, pourtant encore marqué par les traits de l'enfance, sont délicats.

Ta peau pâle, qui ne semble pas pouvoir bronzer et tes joues toujours légèrement rosie, accentue ce coté enfantin que tu possèdes toujours.
Ton cou est rehaussé d'une fine chaîne d'or auquel est accroché un médaillon/loque en forme de cœur,
Malgré tes 17 années révolus tu sembles plus jeune. Beaucoup plus jeune.

Tu es mignonne petite Chiko.

Tu tendis la main vers le miroir, effleurant sa surface du bout des doigts. Observant les fines cicatrices visibles d'ici et là sur ton torse.

Ton torse qui malgré que tu sois une femme ne semble pas se développer.

Tu possèdes des cheveux bruns, coupé en un carré au dessus des épaules, et une frange encadrant ton visage , tombant légèrement sur tes yeux carmins.

Des yeux qui sont peut-être la partie que les gens regardent le plus sur ton visage.

Tu es le plus souvent affublé d'une expression neutre/froide. Mais parfois un petit sourire s'étire sur tes lèvres rosées.

Tu décides de t'habiller.

Chiko, affublé d'un éternel pull rayé citron/vert et d'un short, beaucoup ne se méfie pas de toi mais si seulement y te connaissait, ils se méfieraient alors de l'enfant  innoncente que tu sembles être.  Le couteau avec lequel tu te promènes tout le temps, parfois cacher, parfois à la main devrait leur mettre pourtant la puce à l'oreille.

Tu regardes une dernière fois ton reflet, en serrant le poing. Celui-ci s'abatit sur le miroir, puis tu te détournas de celui-ci.
Tu ne supportes même plus ton propre reflet
Chiko tu es enfermé dans ce corps d'enfant, qui au fond ne te correspond plus.

Tu nettoies tes mains couvertes de sang.
Tes yeux carmin suit les traînées rougeâtres  qui s'évacuent par le siphon. Tu essuies tes mains avant de les bander doucement.
Tu ne supportais plus ton reflet comme tu ne supportais plus ce monde.

Tu jouais le jeu. Celui du gentil petit ninja. Mais tu n'en pouvais plus. si seulement tu pouvais tous les tuer.

Tu ne souris que rarement. Mais quand tu le fais, ta nature se révèle. Car tu es une sadique Chiko. Tu aimes faire souffrir et voir les autres souffrir. Tu aimes faire couler le sang d'autrui, ça te donne un frisson inédit. Tu te sentais tellement vivante

Tu es loin d'être idiote. Tu savais que ce n'était pas morale. Tu savais que quelque chose clochait chez toi. Ce n'était pas normal d'être autant detachée et froide. la mort de ton propre père ne te faisait ni chaud ni froid

Tu jouais de ton androgynie.  Un petit sourire naissait toujours sur tes lèvres. 'Fille Garçon ?  C'est pourtant évident'' était ta seule réponse pour ceux qui cherchait à savoir ton sexe. Toujours suivit d'un petit rire moqueur.

Mais au fond, cette histoire de sexe tu t'en foutais royalement. Seule tes proches et ceux ayant accès à ton acte de naissance savaient  ton sexe. Tu le garde secret, une autre illusion tout comme ton apparence enfantine ainsi que le jeu que tu jouais.

Tu étais avare de mot. Mais quand tu parlais, tu avais tendance à être cassante, froide.
Tu maîtrisais l'ironie et le sarcasme.  Plus les années passaient, plus il était dur pour toi de retenir tes pulsions. Alors tu te taisais.

Tu possèdes unz excellente mémoire. Pour être honnête, tu possèdes unz mémoire photographique.

Tu faisais parfois couler ton propre sang sur ton torse. Ça te soulagais un peu.

Tu observais tes mains, puis le miroir briser face à toi.
Briser comme tu l'étais.

Les sentiments rendent faibles.

Alors pourquoi Chiko, désir tu tant en avoir ?

Tu regardais les photos sur la commode de ta mère.

Tu ne sais pas par où commencer. Commencer par ta naissance est si classique.
Tu sais très bien que ton histoire n'explique pas ton caractère. Il n'explique pas cette froideur, ton sadisme. Tu es juste née comme ça. C'est une notion que beaucoup on du mal à comprendre. Être née comme ceci.


Ton enfance ne fut pas plus terrible que n'importe quel enfant d'Iwa, certain devinrent carrément orphelin. Toi tu perdis juste ton père. Tu avais 7 ans.  C'était ton père qui t’entraîna, ton père qui t'offrit ton premier couteau, le même couteau que tu gardes tout le temps avec toi. Tu possèdes un caractère similaire à celui de ton père. Ton père avec qui tu partageais l'idée que les sentiments rendaient faible.
Du jour au lendemain il mourru.
Et toi....

Tu ne ressentis ni peine, ni colère. Rien. tu te sentais plus coupable de ne rien ressentir que de sa mort

Quand les villages ninjas fut créé, tu suivis ta mère à Konoha, la mentalité étant celle qui plu le plus à ta mère. Mais pas à toi.
Tu trouvais le système des villages ridicules. Vraiment. Des guerriers gardiens de la paix ? Des gens fait pour la guerre ? Ahahaha.

Tu regardais ta mère partir en pièce de puis la mort de ton père. En la regardant tomber de plus en plus dans le gouffre de la tristesse, tu te conforter dans ton idée.
Les sentiments rendait faible.

Tu jouais le jeu de la gentille petite Konohajin devant ta mère, devant les autres. Bien sûr des remarques sarcastiques et quelque petites moqueries passait le seuil de tes lèvres. Mais dans l'ensemble, tu étais plutôt bonne actrice.

Tu te levais du chevet de ta mère et après avoir abaissé le cadre contenant une photo de ton père, tu sortis de sa chambre. Depuis 2 mois ta mère ne sortait plus trop de sa chambre. Tu arrivais même pas à être réellement inquiète.

Tu te dirigeais vers ta propre chambre pour s'arrêter dans l'encadrement et observais la forme dans ton lit. Un sourcil levait.

Mais tu ne dis rien. Yumiko se faisait de plus en plus à l'aise dans cette maison. Ça allait faire bientôt  une année qu'elle était là.
Elle t'avaistsauvé et tu lui en était presque reconnaissante. Elle t'avait sauvée d'un mauvais pas. En échange tu l'avais hébergée. Rapidement la jeune femme avait envahi ta chambre. Très rapidement elle avait envahi ton lit.
Et toi tu t'en foutais. Ça ne te dérangeais pas.

Tu haïssais les autres. Mais Yumiko semblait une exception.
Tu n'arrivais pas  à l'éloigner de toi. Tu te sentais bien à ses cotés. Pour la première fois de ta vie, tes pulsions semblaient canaliser... tu était... hors de question. Les sentiments sont pour les faibles. Tu te raccrochais à ça.

Tu serrais les poings avant de soupirer et d'aller dans ta cuisine. Tu avais besoin d'un thé.
Au passage ton regard se pris dans un miroir. Tu haïssais toujours autant ton reflet. Tu haïssais cet endroit.
dès que ta mère serait plus là peut-être que tu le quitterais. mais si tu partais, qui protégerais Yumiko ?

Alors tu restais, continuant à jouer le jeu du gentil ninja protégeant la paix.
Mais tu  es au bord du gouffre. À tout moment tu pouvais tomber.
tu n'attendais qu'un déclic pour tout détruire