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Ken Tao - TerminéeVoir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
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Messages : 2
Ken TaoKen Tao
MessageSujet: Ken Tao - Terminée   Ken Tao - Terminée EmptyVen 19 Mai - 21:26
Tao Ken


Présentation




Origine de l'avatar : Tensa Zangetsu ( Bleach )
Identité : Ken Tao
Surnom : Le Renard de la Brume
Sexe : M
Âge : 17 A
Date de naissance : -16 / Eté )
---
Clan : Ken
Grade : Chûnin
Rang : C
Kekkei Genkai : En cours de validation


Physique



Je suis quelqu'un d'agréable à regarder, on m'aime pour ma beauté et on me déteste pour mon caractère. Baroque, sont mes pupilles bleutés, semblable à une fine couche de glace formée à la surface d'une eau trouble, froids comme la mort, d'où l'on peut déceler ma nature de psychopathe, mon regard vous transporte sans souffler aucune parole pour vous prouver ce que je ressens pour vous. Mes mi-long cheveux noirs donnent l'impression d'être en toutes circonstances peignés légèrement vers l'arrière, la classe non ? Preuve que mon intellect foisonnant sue par ces régions, n'est il pas ? J'arbore une tenue teintée de noir de jais, une chemise, recouvert par une cape muni d'une capuche, qui met en évidence mon pendentif, qui n'est autre que mon bandeau frontal que j'aime à porter au cou, symbole de ma foi absolu envers mon propre dogme. Par de-là ce vêtement, je revêt un manteau dont le tissus est léger, que je porte conventionnellement ou sur les épaules selon mes envies où la température du jour. Mon pantalon tout aussi de noir teinté se termine dans des bottes d'ébène en cuir à double lanière et qui m'offrent un confort délectable. Muni de ce rictus de bonheur sur mes lèvres qui m'orbite quotidiennement, je me considère comme étant un Maître de la manipulation et que derrière mes sourires charmeurs et mes mots envoûtants, se cache un leader charismatique, insensible qui n’hésitera pas à vous éliminer afin de parvenir à ses fins. Autre chose de marquant, c’est une paire de mots que j'ai l’habitude d’énoncer, lorsque que ma colère aura atteint sa limite, « Je vais te cramer » ou ma manie de toujours traiter les autres de « déchets » .


Caractère




Droit, manipulateur, ludique, imprédictible ... Ce sont mes plus importants traits de caractère. J'ai l'air flegmatique en constance, mais au fin-fond de moi-même, se cache une personnalité provocante, agressive par moment. Je demeure donc susceptible et ne laisserai point mon honneur être bafoué. Je ne suis guère du genre à faire l’idiot à tout bout de champs, disons que lorsque je pense à une chose, lorsque je veut faire quelque chose, je n’hésite pas à le dire, je le fais. Aussi absurde cela soit-il. D'autant plus que je n'ai pas l'habitude de bafouiller ou d’observer au sol lorsque je donne mon avis. Non, je parle bien clairement, et regarde la personne visée dans les yeux, de mon regard lourd. Me moquant éperdument des réactions des autres tout comme à l’impact de mes paroles, blesser les autres est le cadet de mes soucis, je suis tout bonnement l’incarnation de la mélancolie en elle-même.

Réputé d'être animé d'une curiosité amusée, je me dois d'être à la hauteur de cette flatterie pour le moins cocasse, je n'hésite guère à me mêler de ce qui ne me concerne point, poussé par de la curiosité malsaine où bien pour régler une indigente querelle inutile entre plusieurs personnes. La notion de paix et de guerre est chez moi une notion ardemment compréhensible par mes homologues shinobi, on me qualifie de lunatique.. Ils ne comprennent point toujours les raisons qui me pousse à faire tel où telle chose. Pour cause, lorsque j’entreprends de faire quelque chose, c'est que j'y trouve mon compte, sinon je passe son chemin. Ambiguë, c'est muni d'un rictus mémorable que je viendrai vous mettre des battons dans les roues, où vous sortir d'une mauvaise impasse, voire même vous sauver la vie, que cela soit justifié par de l'ambition, que j'attende quelque chose en retour où simplement par pure caprice.

S'intéressant à l'art et au monde général, je deviens avec le temps quelqu'un d'assez cultivé et intelligent, il faut dire qu'en dehors de ma tribu, je n'ai encore rien vu du monde, même Kiri est toujours nouveau à mon regard. Adepte de la peinture, j'en ai fait mon nindo, cet art est pour moi synonyme de contrôle et de pouvoir, puisque lorsque je peins, tous les choix, la toile, les couleurs, reflètent cette sensation de contrôle qui m'apaise tant, tel un commandant. J'aspire à repeindre le monde de ma couleur, désireux et ambitieux comme je suis, afin de créer un monde à ma convenance. J’apparais bien souvent comme quelqu'un d'arrogant, voir odieux, investi d'un humour cynique fort désagréable.

Grâce à la peinture, je suis parvenu à me rendre bien vite compte que dans ce monde à présent dénué de guerre, que l'ombre est aussi importante que la lumière. Je n'hésite donc point à utiliser n'importe quel moyen afin de me hisser parmi les hautes sphères.

Fermé sur le plan sentimental, je ne me confie que bien rarement, et concernant ce point, lorsque l'on parvient à gagner ma confiance, ce qui est plutôt rare, pour ne point dire impossible, je peux me montrer bienveillant et dévoué à l'égard de ces rares élus, chose que je nierai en bloc si vous me posez ultérieurement la question, puisque des actes de bonté et désintéressé seront alors exclusivement tournés vers eux, chose que je n'apprécie guère dans la mesure où ils sont susceptibles d'influencer sur mes états d'âmes. Il m'arrive parfois de souffrir de ma solitude, de prendre les choses trop à cœur, où même m'attacher à une personne s'en m'en rendre compte, la vérité c'est que j'ai du mal à dire que j'ai mal.  


Histoire



A la recherche de l'art sous une autre de ses formes, je venais d'entamer mon antépénultième ouvrage et bien que je ne paraissais point très enthousiaste à sa rédaction, je ne pouvais guère me contenter de le rédiger compendieusement. Je voulais tout simplement écrire mes mémoires, laisser une trace indélébile de mon passage dans le monde Shinobi. Je suis loin d'être un foutriquet mais devant l'embrouillamini que m'inspirait mon existence, je ne savais point réellement comment procéder.. De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je préférais m’occuper de l'écriture de ma propre histoire. Je posai ma plume et mon breuvage alcoolisé non loin de mon parchemin, arborant une expression faciale reflétant un soupçon de mélancolie, une pincée de remise en question, mélangé à un ennui des plus mortel, même si en aucun cas, cela ne pouvait provoquer ma mort, mais j'aime bien l'expression..

Alors, cela remonte à il n'y a pas si longtemps peu avant la fondation du Kirigakure, du temps où j'étais, aussi inoffensif qu'une mouche. Il faut avouer que je me remémore bien cette époque, après tout, c'est bien grâce à elle que j’eus droit à la réelle conscience de moi-même. Je faisais partie d’une tribu, clan indépendant de Mizu no Kuni. Depuis toutes ces années, mes dits aînés y vécurent en harmonie, selon leur propre gouverne, leurs propres règles et incontestablement, par leurs propres moyens. Baroque était cette petite communauté et ses dirigeants l’étaient bien plus, c’était un fait indéniable. Non seulement ils interdisaient ne serait-ce qu’un simple contact avec la civilisation et la caste des Shinobis et, ils étaient bien décidés à ne prêter guère d’allégeance quiconque, en vérité, ils les haïssaient. Pourquoi me diriez-vous ? Nous n’étions pas tout à fait.. Ordinaires. Nous étions différents, spéciales. Nous avions pour don une maîtrise des plus rares, celle de l’esprit. En effet, pour une raison qui m’est inconnue, les quelques personnes de ma tribu qui se sont éveillés à cette aptitude, bénéficiaient d’un esprit plus différent de ceux des humains.

Du moins, c’est ce que nos aînés avaient comme explication. Pour une personne ordinaire, seulement 10 à 20% de ses capacités cérébrales lui étaient permises or, le reste serait une réserve inexploitée laissant place au développement de toutes sortes d’habiletés. C’est-là que nous entrons en scène ; nous avions pour don d’exploiter les capacités de nos esprits bien plus que la normale, notre évolution est dite illimitée mais surtout, amorcée par le potentiel de la personne. Cette hérédité ne s’éveillait guère chez n’importe qui, nous n’étions que peu, pas plus d’une vingtaine au total ; quelques uns avec des dons qui leurs étaient propres, d’autres partageant le même. Néanmoins, nous rejetions la violence. Nous étions une communion qui ne percevaient la vie que sous son ongle illusoire, utopique et dont la seule et unique foi n'était que paix et prospérité. Par conséquent, certains voyaient ce don comme une bénédiction, d’autres comme une malédiction, un fléau. Cela semblait absurde, comment un tel pouvoir pouvait être nuisant ? Ironique mais, au fil du temps je me rendis compte qu’ils avaient bel-et-bien raison. Nos aînés adoptaient une vision assez unique de la vie, ils percevaient celle-ci comme un cadeau, une grâce des dieux qui ne devait guère être gâchée par la violence ou la soif du pouvoir et c’est ainsi que depuis le début, l'habileté qui nous a été transmise, ne servit point à des intentions hostiles mais plus encore, elle fut enterrée, réprimée et gardée dans un silence des plus absolus. Son utilisation était donc interdite. Si nous voulions vivre sereinement et éviter l’éclaboussure du sang, il fallait abandonner ce don et tel fut le cas .. Du moins pour une bonne période de temps.

Mais avant d’aboutir à notre holocauste, laissez-moi donc vous parler de ce que j’étais autre fois. Ce n’est pas pour rien que j’opte pour la solitude, elle était ma seule gouvernante, ma seule nourrice, la seule chose sur laquelle je me suis vraiment relié dans ce monde. C’est peut-être attristant mais, depuis le jour où je suis venu dans cette vie médiocre, je ne me suis pas réellement retrouvé au sein d’une famille, j’étais écarté, dépourvu d’un quelconque lien social. Au début, cela m’attristais, je m’associais constamment à un déchet, une moisissure qui n’était autre qu’une erreur de la nature, une erreur qui n’aurait jamais du venir au monde, suis-je donc vouer à une existence des plus pathétiques ? Telle était ma première interrogation. Mais les années passèrent et ma pensée, ma vision, s’hissa vers un tout autre niveau et j’interprétai les choses d’une toute autre manière. Désormais, je m’y plaisais assez bien, aussi bizarre soit-il, je me retrouvais supérieur dans ma misère. Je regardais avec dégoût ceux qui m’entouraient, la vie qu’ils vivaient, la naïveté dans laquelle ils baignaient, c’était troublant, c’était même un affront pour ceux qui nous ont précédés. Nous avons un don, un pouvoir qui nous a été confié mais, au lieu d’en faire usage, nous réprimons cette bénédiction. Avec un don tel que le notre, on pouvait aisément s’emparer de tout et de n'importe quoi, mais à la place, nos aînés préféraient se regrouper autour d’un feu et se saouler la gueule jusqu’au levé du jour ; je les haïssais.

D'abord, il y avait l'aîné, lui qui était comme un melon, lui qui avait un gros nez, qui était raide comme une saillie et qui ne faisait rien de ses dix doigts, tellement qu’il se prenait pour le roi. Et puis, il y a l’autre, des carottes dans les cheveux, qui n’a jamais vu un peigne, qui est méchant comme une teigne et qui fait ses petites affaires avec son petit chapeau, avec son petit manteau et son petit couteau mais qui en réalité, se saoule toutes les nuits, avec du mauvais vin et qu'on retrouve le matin sur le sol qui roupille, blanc comme un cierge de pâques et puis qui balbutie le nom de la dernière femme qui l’a giflé. C'était celui qui ne disait rien, ou bien n’importe quoi et du soir au matin, sous sa belle gueule d’apôtre, il y a son œil qui divague et qui reflète ses intentions malsaines. Faut-vous dire Monsieur, que chez ces gens-là, vous trouverez l’apogée de l’étrange monsieur, Ô que oui. Tel était notre vie, notre objectif, aussi médiocre que n’importe quel but dans ce monde. Je ne pouvais point supporter cette vie, je voulais m’en aller, découvrir le monde, les gens et surtout exploiter mes aptitudes bien que cela m’étais inconnu et surtout interdit. Je m’étais incrusté cette idée dans la tête et je comptais bien mettre mon plan à exécution, du moins, jusqu’à ce le jour où, ils arrivèrent. La nuit même où je comptais m’enfuir, des personnages, vétérans des guerres qui éclatèrent sur le continent, répondant et agissant au nom du Reishin apparurent. Ils avaient pour missive de nouer une alliance avec notre tribu, ils traquaient et rassemblaient les meilleurs familles de combattant, et bien sûr, la nôtre, tant elle était effacé du quotidien des gens qu'elle en devint légendaire selon les dires des autres. Bien sûr, nos leader refusèrent tout pourparlers, ce qui n'allait pas tarder à provoquer leurs extinctions. Cette nuit là n’était guère ordinaire. Des explosions précédés par d'innombrables flashs s'emparèrent aussi bien de l'horizon que de notre ouïe. C’était un événement durant lequel la totalité de notre communauté, honorait la mémoire de nos ancêtres, tous les deux ans. Etait-ce peut-être la raison pour laquelle ce groupe avait apparut ? Ils s'étaient armés jusqu’ aux dents et ce n’était point bon. Ce fut un choc des plus intenses pour la plupart d’entre nous, certains songeaient déjà à notre extermination tandis que d’autres n’arrivaient même pas à comprendre comment nous avions pu être retrouvés. Nous craignirent aussitôt le pire, soit nous étions voués à un à la mort, soit exploités à des fins militaire. Une chose est sûre, nous n’étions plus maîtres de nos destins. Néanmoins, ce ne fut point le cas, nous n’étions ni voués à une mort aussi mémorable ni à porter des armes. Une vraie boucherie..

Femmes, enfants, vieillards, tous firent éradiquer. Notre tribu était vouée à son extinction cette nuit là, nous ne pouvions rien faire face à eux et au moment où nous avions le plus besoin de notre aptitude, celle-ci refusa de nous prêter main forte, nous l’avions renié, réprimé au point que nous ne pouvions point en faire usage.. Ce fut donc un bain de sang .. Un énorme bain de sang, les ordres étaient assez clairs, aucun survivant, aucune trace de vie. Il fallait avouer que ces assassins excellaient dans la matière, ils faisaient en sorte d’éliminer toute chose vivante, chose facile vu que nous étions tous réunis. Toutefois, où suis-je donc dans l’histoire, suis-je déjà mort ? Pas cette fois, j’étais tout comme mes ex-confrères, une cible de cette éradication et peu d’options se présentaient devant moi. Si je suis arrivé à m’en sortir jusqu’à maintenant, c’est bien grâce à ma solitude. Certes les autres honoraient leur tradition mais quant à moi, je me tenais comme à mon habitude seul dans mon coin, loin de leur l’hypocrisie et qui aurait cru que se tenir loin d’eux m’aurait épargné la vie, enfin presque je suppose. Par le plus grand des enchantements qui puisse exister, je fus intercepté par uniquement un seul de ces soldats. Ce dernier qui avait pour tâcher de rôder aux alentours du massacre, me débusqua et sans émettre le moindre son, me poignardât furtivement dans le dos ; après tout, les exécuteurs s'étaient donné pour mission d’éliminer ma communauté en entier. Cependant, j’étais bien conscient de ce qui m’arrivait, le sang coulait le long de ma bouche, suivant une trajectoire bien droite tandis que les battements de mon cœur étaient à leurs apogées. Je pouvais à peine respirer et mon esprit semblait hors de moi-même. C’est à cet instant précis que je crus la fin de ma minable existence mais était-ce réellement le cas.

La suite des évènements ou dois-je dire des actions que je fis, je n’en étais pas vraiment le maître. Mon corps sembla maître de lui-même et ne me répondait désormais plus. Je percevais uniquement ma main, qui le long d’une étincelle bleutée qui jaillit de mes yeux, agrippant la tête du belliqueux qui m’étais de dos. Quoique, c’est par la suite que le plus baroque eut lieu. Mon autre main s'était muni du métal froid et déjà gorgée d'hémoglobine, planté dans ma chair afin de l'enfoncer dans le  menton de mon opposant, pointe en avant, sous d'effroyables bruits sanguinolents, il m'étais dès lors soumis. Mais, que diable se passait-il ! C’est pile à ce moment et sur cette même pensée que le crane perforé, le corps de mon agresseur s'était retrouvé sur le sol. Je me voyais dès lors, libéré de l’emprise de mon agresseur. Durant toute la nuit, j’étais indifférent des cris qui résonnaient dans mes oreilles. Bien au contraire, j'étais heureux, tellement serein que je finis par m'endormir. Je fus libéré du poids qui pesait sur mes épaules, je fus libéré de ma malédiction. Je n’avais plus à m’enfuir ni à m'échapper aux règles pathétiques de ma communauté, ces démons accomplirent la tâche à ma place, avant de tomber sur moi, vous imaginez bien que dans un tel état, je n'avais plus la force de continuer, m'effondrant à mon tour, à côté de ma récente victime.

J'avais dormi plusieurs jours tant j'avais été épuisé par l'affrontement. Le jour me souriait et je me tenais-là, souffrant de ma blessure. Je contemplais le châtiment suprême qui s’est abattu sur ma tribu et apparemment toute la région. Ces émissaires du Reishin anéantirent toutes traces de mon peuple, comme si ils n’avaient jamais existé. Quant à moi, j’ai failli perdre la vie, situation propices pour que mes instincts de survie se réveillent et me montre la voie. Sur ceux, ils ne mirent point longtemps avant de comprendre ce qui était arrivé, et ils me firent une proposition, que je me devais de rembourser la vie que j'avais ôté et de les suivre, et c'est ce que je fis, je quittai finalement mon ancienne vie et désormais, je percevais le futur d’une toute autre manière, pleines de possibilités, un nouvel objectif, une toute nouvelle vie.

Le temps s'écoulait et me voilà donc de nouveau, au sommet d’une gouttière, en train de contempler, l’air mélancolique comme à mon habitude ; le vent palpitant ma chevelure. Droit devant, je pouvais apercevoir au loin l’entièreté du village de la Brume, ses divers immeubles et quartiers mais, plus que tout, le QG du Mizukage, dit chef militaire  de la Première Puissance Ninja de Mizu no Kuni. Sur cette image, un rictus maléfique se dessina sur mes lèvres. Aussitôt, je fermai mes pupilles pendant un léger moment et les ré-ouvrirent plus brillantes que jamais. Pour une raison que j’n’arrivai guère à saisir, mon esprit semblait être indifférent aux mouvements de mon corps, inapte à l’escorter, incapable de le guider. Je me retrouvai en train de tracer une route qui m’étais étrangère, des ruelles que je n’ai jamais fréquenté, serait-ce l’œuvre du hasard ou le fruit de mes instincts ? Mes pensées me bercèrent profusément, elles furent si profondes que lorsque je regagnai ma conscience, je me retrouvai à l’autre bout de l'agglomération, comme-ci je m’étais instantanément téléporté. Insolite et inaccoutumée était cette journée ainsi que ce désir qui me conduit jusqu’à ces lieux, que me caches-tu donc, mère nature ? Mes pas teintés d'inconscience, m'amenèrent à m'engager au sein des forces armées, et il était temps pour moi de découvrir le monde, de l’inonder de mon opaque couleur.


Derrière l'écran



Pseudo : Ken Tao
Âge :21
Comment avec-vous connu le forum ? top-site
Que pensez-vous du forum ? Sceptique au début, je me suis rendu compte en y plongeant mon nez, qu'il était pas mal du tout.
Quelle est votre disponibilité ? Quelques heures de connexions par jours
Autre chose ? Ce qui me passe par la tête, là tout de suite, n'a rien à voir avec le forum lol
Code de validation: Ce code a été validé par Chaton. Nao qui fangirl..
©️ Ju de Never-Utopia
XP : 283
Messages : 171
Tsukiriko MisaNukenin
Tsukiriko Misa
MessageSujet: Re: Ken Tao - Terminée   Ken Tao - Terminée EmptyMar 23 Mai - 5:24
Kikou,
Jai lu ta belle présentation mais malheureusement je ne peux te valider, vu que ton épée (soit ton Kekkei Genkai) n'est pas tout à fait au point T.T


Du coup, quand elle sera validée , post a la suite de mon message et je pourrais te valider Wink
XP : 801
Messages : 338
Yamanaka ReiKonohajin
Yamanaka Rei
MessageSujet: Re: Ken Tao - Terminée   Ken Tao - Terminée EmptySam 3 Juin - 15:37
Salut salut ! o/ Et bienvenue sur Shinobi Origin !

T'y arrives avec ton épée ? o: Si tu as besoin d'aide, n'hésite pas à venir vers nous en demander. ^^

Ceci est une première relance, au bout de trois, je serais dans l'obligation de sceller ta présentation, ce serait tristounet quand même :(

A bientôt ! ^^
XP : 860
Messages : 435
RyûjiKonohajin
Ryûji
MessageSujet: Re: Ken Tao - Terminée   Ken Tao - Terminée EmptySam 17 Juin - 17:31
Bonjour ! Je passe faire une seconde relance !

Bonne chance pour ta fiche Wink
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MessageSujet: Re: Ken Tao - Terminée   Ken Tao - Terminée Empty
 

Ken Tao - Terminée

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